Ambiance musicale:

“Raïa ? que dirais-tu de venir partager un verre de vin ?”

“Eh bien Monsieur P , j’en dis que cette fois , ce sera à moi de choisir pour toi… tu veux ?”

Je ne réponds rien d’autre qu’un sourire et je t’emmène dans un bar à vin à proximité où j’ai déjà été avec des collègues. Le bar vient tout juste d’ouvrir ses portes  et il n’y a pas encore un chat à l’intérieur et nous savourons la fraîcheur de la climatisation après avoir profité du soleil et du bord du lac toute l’après-midi. Nous avons savouré des instants tendres entrecoupés de moments beaucoup plus torrides  dès lors que nous étions à l’abri des regards. Il y a eu ces baisers d’adolescents ponctués de sourires et de soupirs de bien être , il y a eu nos mains qui n’arrivaient jamais à s’éloigner très longtemps l’une de l’autre , et il y a eu mes yeux qui ne te quittaient jamais , comme hypnotisés par ta simple présence. 

Tu passes commande et comme je pouvais m’y attendre , commence par commander des rosés pour nous désaltérer : frais , léger , fruité mais avec suffisamment d’alcool pour faire pétiller nos langues. Dans la lumière tamisé du bar , nous en profitons pour laisser nos mains décrire à quel point nous avons envie l’un de l’autre : que ce soit nos doigts noués , que ce soit en effleurant la paume délicatement ou en massant ton poignet. Le premier baiser naît là, presque timide, une caresse de lèvres qui retient plus qu’elle ne donne. Mais sous cette retenue, je sens le désir frapper comme un cœur impatient, prêt à rompre ses attaches. Nos mains restent liées sur la table, mais nos corps se sont déjà choisis.

Nous jouons avec le vin dans nos verres faisant tournoyer le rosé qui brille de mille feux lorsqu’il croise les rayons du soleil. Nos sourires sont toujours plus présent et l’envie se fait plus forte que la retenue : c’est d’abord ma chaise qui se déplace près de la tienne , puis ce sont tes lèvres qui s’écrasent sur les miennes, ta langue venant chercher les baisers qu’elle n’a plus eu depuis beaucoup trop longtemps. Ma main droite se pose au niveau de ton cou et caresse délicatement ta nuque pendant que mes doigts se perdent dans tes cheveux.

Nous finissons nos verres et tu me tends la carte comme un défi

“A ton tour , Monsieur P , surprends moi encore…”

Je regarde la carte et opte pour un assemblage complexe de Grenache, Syrah et Mourvèdre, les composantes me faisant irrémédiablement penser à toi…

“Deux Adages s’il vous plaît..” dis-je au serveur  qui s’exécute et remplace nos verres quelques minutes plus tard. 

“Pourriez-vous surveiller nos affaires quelques minutes s’il vous plaît ?” dis tu pendant qu’il nous sert nos verres .

Tu m’entraines dans les escaliers en colimaçons et nous arrivons à la cave à vin où les gens peuvent admirer les bouteilles mises en valeur , où l’ambiance est plus fraîche .. ou plutôt était plus fraîche jusqu’à ce que nous nous étreignons , laissant la passion dicter nos gestes sans aucune retenue…Mes bras te garde contre mon corps , ta jambe droite s’enroule autour de moi et l’ouverture que cela créé te permet de venir plaquer ton sexe bouillonant de désir contre ma queue à l’étroit sous mon pantalon.. nos baisers sont intenses , fusionnels . Nos caresses sont torrides et débridées.. si nous n’étions pas à la merci d’un témoin ou d’une caméra , nous serions déjà en train de baiser tant nous n’en pouvons plus… ma main descend jusqu’à tes fesses et les caresse fermement , t’appuyant plus fort encore contre ma verge pour te faire onduler. Même à travers l’etoffe de nos vetements je peux sentir la chaleur de ton sexe innodé mon bas ventre et mon erection se renforce à chaque secondes et à chacun de tes coups de langues… tes baisers.. je sens mon âme s’envoler à chaque fois que ta langue effleure la mienne , me gonflant d’orgeuil et de désir…

Cela n’a duré que quelques minutes , deux , peut être trois maximum.. mais elles étaient si intenses que nos yeux trahissent bien plus qu’un peu de tension.. c’est le désir brut et brûlant qui crépite autant dans les tiens que dans les miens.

Nous remontons sous le regard amusé du serveur qui nous a observé de loin et retournons à notre table. Le vin a eu le temps de s’aérer un peu et de développer tous ses arômes. nous trinquons au plaisir , celui qui vient d’avoir lieu comme celui qui nous attend …

Le vin a eu le temps de s’ouvrir, mais plus rien ne peut rivaliser avec ce que nous venons de goûter. Nous trinquons, non pas à la bouteille, mais à ce qui nous brûle encore sous la peau. Tes jambes se croisent, se décroisent, ton genou effleure le mien comme par réflexe. Tes doigts glissent de mon bras à ma cuisse, se posent un instant avant de s’envoler pour mieux revenir. Nos regards se dévorent, incapables de se détacher.

Chaque gorgée de vin ferme mes yeux… mais ce n’est pas le parfum des fruits mûrs que j’imagine. C’est toi. Tes lèvres, tes mains, et la chaleur moite entre tes cuisses qui m’obsède plus que tout. La retenue se fissure, l’envie devient insoutenable.

Je me lève sans prévenir. Mon regard plonge dans le tien et il n’y a pas besoin de mots : tu sais. Ma main se tend vers toi, et tu te lèves aussitôt, te glissant à mon bras avec cette façon féline et assurée qui me rend fou.

La rue n’est qu’une transition, un souffle entre deux battements de cœur. L’hôtel est juste en face. Nous traversons sans ralentir, comme si nous craignions que le désir se dissipe, alors qu’il ne cesse de croître. À la réception, je demande une chambre. Tu restes accrochée à moi, impassible, assumant le feu qui couve dans nos yeux. La clé passe dans ma main.

“Tu viens ?”
“Oui… allons donc profiter de la climatisation….”

Le sourire qui suit est un défi. Dans l’ascenseur, nos mains se cherchent encore, nos hanches se frôlent, et seules les parois vitrées nous empéchent d’aller plus loin. Quand les portes se referment enfin sur la chambre, rien ne nous retient plus.

À peine la porte refermée, nous nous jetons l’un contre l’autre, nos bouches dévorant ce qu’elles attendaient depuis trop longtemps. Les vêtements s’effeuillent, tombant au sol dans un désordre dont nous ne nous soucions pas, tant nos mains sont déjà occupées à explorer, caresser, presser. Chaque bouton défait, chaque tissu glissé révèle un peu plus de peau, et chaque parcelle découverte appelle aussitôt mes lèvres.

Nous finissons par gagner la salle de bain, happés par l’idée de mêler nos corps à l’eau. J’ouvre le jet, laisse l’eau chaude emplir l’espace d’une vapeur moite, et t’attire contre moi sous cette pluie brûlante. L’eau se répand sur tes cheveux, coule le long de ta nuque, glisse entre tes seins et file sur ton ventre plat. Mes mains suivent son parcours, comme pour m’assurer que chaque goutte qui te touche est déjà mienne.

Je prends le temps de te laver, lentement, avec une minutie presque solennelle. Mes doigts s’attardent sur ta nuque, descendent sur tes épaules, et j’imagine qu’à chaque geste j’efface ce qui a pu t’effleurer avant moi. Je veux que tu sois purement à moi, que chaque caresse réécrive ton corps comme un territoire sacré. Je savonne tes bras, les enserre doucement, lave tes mains et glisse mes doigts entre les tiens comme pour les lier. Je descends vers tes seins, les masse dans la mousse, les soulève et les serre avec une délicatesse qui contraste avec l’avidité de mon regard. L’eau ruisselle, mais je prends soin de recommencer, encore, jusqu’à ce que ton souffle s’accélère, partagé entre la douceur du geste et le désir qu’il dissimule mal.

Quand mes mains atteignent ton ventre, je lisse chaque courbe, et mes doigts se faufilent entre tes cuisses, caressant la chaleur humide déjà palpable. Je passe derrière toi, mes paumes découvrent la cambrure de ton dos, la rondeur de tes fesses que je savonne longuement. Puis, d’un geste assumé, mes doigts s’aventurent plus bas, s’enfonçant lentement dans ton intimité arrière. Tu halètes, tes mains se plaquent contre la paroi froide, et je sens ton corps osciller entre surprise et abandon. Je ne relâche pas ma prise, au contraire, ma paume appuie sur ton ventre pour amplifier chaque frisson, comme si je voulais graver en toi cette intrusion délicieuse.

Je reviens à ton visage, capture tes lèvres dans un baiser humide, avant de reprendre le rituel. À ton tour, tu saisis le savon, et nos rôles s’inversent. Tes mains explorent mon torse, s’attardent sur mes épaules, descendent le long de mes abdominaux pour enfin se refermer sur ma queue gonflée de désir. Tu la masses avec la mousse, tu la fais glisser entre tes doigts tandis que ton regard me défie. Mes lèvres se posent dans ton cou, mordillent ta peau, aspirent chaque gémissement que je provoque.

Nos corps deviennent des surfaces lisses, glissantes, qui se cherchent et se pressent l’un contre l’autre. La vapeur brouille les contours, mais pas nos intentions. Tes seins écrasés contre mon torse, ma main agrippée à tes fesses, nos hanches se heurtent déjà dans une danse impatiente. Tu te retournes, cambrant tes reins, ton cul offert et luisant de mousse. Tes doigts guident ma queue, l’alignent à ton anus préparé par mes caresses. Je pousse lentement, millimètre par millimètre, jusqu’à sentir la chaleur t’engloutir et se refermer autour de moi.

Je te serre fort contre moi, mes mains malaxant tes seins tendus, mes doigts pinçant ton clitoris pour amplifier la secousse qui te traverse. Ma bouche se perd dans ton cou, tandis que je continue cette pénétration lente, calculée, te forçant à ressentir chaque seconde de cette sodomie comme si elle s’inscrivait en toi pour ne jamais te quitter. Tes gémissements se brisent contre le carrelage, et je sens chaque contraction de ton corps me happer plus profond encore.

Nous sortons de la douche, l’eau encore perlant sur nos peaux brûlantes. Je saisis une serviette, mais ce n’est pas pour en finir rapidement : c’est une nouvelle occasion de m’attarder sur chaque parcelle de ton corps. J’essuie lentement ta nuque, puis la caresse de l’étoffe se transforme en mes lèvres qui déposent un baiser humide, un mordillement qui arrache un frisson, un coup de langue qui goûte le sel de ta peau. Je descends ainsi sur tes épaules, sur tes bras que je lisse et sèche avec soin, et chaque passage de tissu devient prétexte à un contact plus intime de ma bouche.

Ton ventre reçoit le même hommage, mes lèvres aspirant ta peau à mesure que je chasse l’eau, mes dents laissant parfois une trace légère, comme une signature éphémère. Je descends encore, mes mains ouvrant doucement tes cuisses pour atteindre l’intérieur. Là, je prends tout mon temps, embrassant chaque centimètre, mordillant la chair tendre, laissant ma langue glisser jusqu’à frôler ton sexe sans m’y attarder encore.

Je m’agenouille devant toi, la serviette glisse de mes mains et tombe au sol sans que je m’en soucie. Mes paumes s’accrochent à tes hanches, me rapprochent de ton intimité qui palpite déjà d’envie. Quand mes lèvres se posent sur ta vulve trempée, je l’engloutis lentement, laissant ma langue s’insinuer entre tes lèvres gonflées.

Ton regard s’abaisse d’abord, lourd de désir, et se fixe sur moi. Je sens ton souffle se briser dans ta poitrine, tes yeux déjà voilés d’excitation. Mais le plaisir est trop fort pour être contemplé : ta tête bascule en arrière, tes paupières se ferment, et ta bouche entrouverte laisse échapper un gémissement que tu retiens à moitié en te mordant la lèvre.

Je joue de ma langue, lente au début, dessinant de longs traits qui partent de ton entrée humide pour remonter jusqu’à ton clitoris. Tu frémis à chaque passage, ton bassin s’élève à ma rencontre, cherchant plus de pression, plus d’abandon. J’alterne, aspirant ton clitoris, mordillant doucement la chair tendre de tes lèvres, revenant sans cesse au centre pour le tourmenter. Tes jambes tremblent, ta cuisse posée sur le rebord de la baignoire me presse davantage contre toi.

Mais ma bouche n’agit pas seule. Mes mains, impatientes, glissent de tes hanches à ton bas-ventre, puis descendent explorer ta vulve gonflée. Deux doigts s’enfoncent dans ta chaleur, ouvrent ton sexe humide, pendant que ma langue insiste sur ton clitoris déjà vibrant. Ta main vient couvrir ta bouche, tu gémis contre tes propres doigts, comme si tu craignais que le mur n’entende ta jouissance. Tes hanches roulent, tes reins se cambrent, et je te tiens, collé à moi, engloutissant chacun de tes frissons.

Je recule un instant mes doigts pour les glisser plus bas, explorer ton anus encore savonneux de la douche. Quand je pénètre doucement, ton bassin se soulève, offert, ton dos se creuse, et ton clitoris pulse contre ma langue. Tu laisses échapper un cri étranglé, mordillant ta main pour ne pas hurler, et tes ongles de l’autre main griffent le carrelage dans ton dos.

Je sens chaque vibration de ton corps, chaque contraction, chaque spasme qui te traverse. Tu es au bord. Tu veux céder. Tes yeux se rouvrent, brillants, implorants, ton souffle court et saccadé. Tu es à la limite. Mais je ralentis, je m’écarte, je ne t’offre qu’un frôlement de langue là où tu attendais la morsure. Ton bassin s’élève encore, désespéré, mais je refuse de te laisser tomber.

Tu gémis, ta voix se brise, ta cuisse tremble contre mon épaule. Tu te mords les doigts, tu retiens le cri qui monte. Et moi je savoure ta frustration, cruel et tendre à la fois, en te tenant au seuil de l’orgasme sans jamais t’y laisser plonger.

Puis je me redresse enfin, mes lèvres quittant ton sexe, mes doigts se retirant lentement, couverts de ton excitation. Tu restes cambrée, haletante, offerte, ton corps vibrant encore des secousses de plaisir inachevé. Mais je reprends la serviette comme si de rien n’était, reprenant mon rituel.

Je recommence à te sécher, minutieux, appliqué, posant mes baisers et mes morsures sur chaque goutte d’eau que j’efface. Et ton corps, chauffé à blanc, réagit au moindre effleurement, à la plus légère pression de mes doigts. Chaque fibre de tissu devient torture, chaque caresse une onde qui t’arrache un nouveau gémissement. Tes yeux brillent, tes lèvres tremblent, et je sais que désormais, même la plus douce caresse suffira à te faire perdre pied. Mes lèvres effacent les dernières gouttes d’eau, et je t’attire à moi pour t’embrasser longuement. Nos souffles se mélangent, nos langues s’entrelacent, et ton corps se tend encore contre le mien. Je prends la serviette pour me sécher à mon tour, mais déjà tu profites de ce répit pour poser tes lèvres sur ma poitrine, descendre sur mon ventre, et ta main trouve ma queue toujours dressée. Tu la caresses doucement, comme pour vérifier qu’elle n’a rien perdu de sa vigueur, ton regard levé vers moi, malicieux et avide.

Tu t’agenouilles sur la serviette au sol, ton corps nu offert, et tu approches ta bouche de moi. Ta langue sort, effleure ma hampe d’un geste délicat, puis redescend jouer sur mes bourses. Je retiens ton visage dans ma main, mes doigts se glissant dans tes cheveux.
« Continue… mais pas plus que ta langue. Pas tes lèvres. Pas tes mains. »

Tes yeux brillent d’un éclat espiègle, et tu obéis, ton sourire accroché au coin de tes lèvres. Ta bouche reste entrouverte, ta langue joue seule : un trait lent qui parcourt toute la longueur, un cercle taquin autour du gland, une caresse humide sur mes bourses qui me fait soupirer plus fort. Tu me regardes parfois en coin, savourant l’effet que tu as sur moi, et je laisse faire, appréciant la complicité et la brûlure de ce moment.

Je t’aide enfin à te relever, mes mains fermes sur ta taille. Tu te presses contre moi, nos bouches se retrouvent, nos langues s’embrasent encore. Nous quittons la salle de bain, mais chaque pas vers la chambre est un prétexte à de nouvelles caresses. Tu passes tes mains sur mon torse, sur mes hanches, tu frôles mes fesses, et moi je caresse tes seins, je pince tes tétons, je glisse mes doigts sur ta vulve encore moite. Tous les deux pas, nous nous arrêtons pour nous embrasser avec urgence, pour gémir à mi-voix, comme incapables d’attendre le lit. Ce n’est qu’à quelques mètres, mais chaque instant est une étreinte, chaque souffle une nouvelle provocation.

Nous tombons enfin sur le lit, nos corps s’y allongent, s’y cherchent, s’y frottent. Tu ondules contre moi, ta poitrine écrasée sur mon torse, ton sexe luisant frottant ma cuisse. Tes lèvres dévorent mon cou, descendent sur mon torse, sur mon ventre. Tu respires fort, impatiente, et quand ta bouche atteint ma queue, tu cèdes à ce que tu désirais depuis le début. Tes lèvres se referment sur moi, ta langue m’enveloppe, et tu me suces avec une faim insatiable. Tes gémissements étouffés me font vibrer jusque dans le ventre, mes mains s’agrippent à tes cheveux pour savourer le rythme que tu imposes.

Quand tu sens ma verge prête à éclater, tu remontes lentement, embrassant à nouveau mon corps de bas en haut : mon ventre, mon torse, mon cou, mes lèvres. Tu viens enfin te placer au-dessus de moi, ton bassin s’aligne naturellement sur le mien. Tu poses ton sexe brûlant contre ma queue tendue et tu te frottes, lentement, sensuellement, chaque mouvement m’arrache un râle.

Je t’embrasse passionnément, mes mains se glissent partout : je malaxe tes fesses, j’écarte leurs rondeurs pour mieux sentir la pression de ton clitoris contre ma hampe. Ma bouche happent tes seins, je les lèche, les mordille, je suce tes tétons jusqu’à te rendre folle, et ton corps tremble sur moi.

Tu t’installes au-dessus de moi, tes lèvres encore humides des baisers que tu m’as laissés sur tout le corps. Ton bassin s’avance, se pose contre le mien, et ton sexe brûlant frotte contre ma queue dressée. Tu ondules lentement, tu laisses glisser ta chaleur humide le long de ma hampe, et chaque mouvement arrache un râle de ma gorge. Je sens ton clitoris pulser contre moi, et tu fermes les yeux, la bouche entrouverte, savourant la torture délicieuse de ce frottement.

Mes mains se posent sur tes fesses, les caressent d’abord, les malaxent, les écartent pour mieux sentir le contact de ton sexe contre le mien. Mes lèvres happent tes seins, d’abord doucement, léchant tes tétons durcis, les aspirant dans ma bouche avec une lenteur calculée. Tu gémis, tu te cambres, et plus tu t’agites sur moi, plus je me fais avide. Mes mains serrent ta poitrine, mes doigts s’enfoncent dans ta chair, et ma bouche dévore tes seins avec une faim brute, mordillant, aspirant, jusqu’à ce que tu cries mon prénom dans un souffle rauque.

Et puis, dans un basculement, ton bassin s’abaisse. Ta chatte avide engloutit ma queue lentement, centimètre après centimètre, dans un mélange de douleur et de plaisir exquis. Tu te crispes, tu gémis, tu fermes les yeux, et quand je suis enfin en toi, entièrement, tu restes immobile quelques secondes, haletante, le temps que ton corps s’adapte à cette intrusion brûlante.

Je t’embrasse avec force, nos langues se déchirent presque, et mes mains t’agrippent plus fort encore pour te forcer à onduler. Alors tu bouges, lentement d’abord, relevant et abaissant ton bassin avec des soupirs brisés. Chaque descente est un gémissement, chaque remontée une supplique. Ton sexe m’enserre, me presse, me pulse, et je me perds en toi.

Nos corps se déchaînent. Tes mouvements se font plus rapides, tes mains s’accrochent à mon torse, griffent ma peau, tes seins s’écrasent contre ma bouche et je les dévore avec rage, mordillant, aspirant tes tétons jusqu’à les rendre douloureux, jusqu’à te faire gémir encore plus fort. Mes mains passent de tes fesses à ton dos, descendent à nouveau, te tirent vers moi pour t’empaler plus profondément, et tu cries de plaisir à chaque fois que je me heurte au plus profond de toi.

L’air est saturé de nos râles, de nos souffles heurtés, de nos bouches qui se cherchent et se dévorent. Ton corps ondule comme une vague, ton bassin bat contre le mien, et je sens ton orgasme approcher, rapide, violent, nourri de toute la frustration accumulée depuis la douche. Tu gémis plus fort, tes ongles s’enfoncent dans mes épaules, tes lèvres écrasent les miennes dans un baiser désespéré, et tu jouis, ton corps se contractant, se tordant sur moi, me pressant de l’intérieur jusqu’à me rendre fou.

Je te tiens fermement, mes mains écrasant tes fesses, mon torse collé à ta poitrine offerte que je dévore encore, et je laisse ton plaisir éclater contre le mien. Tes cris résonnent dans ma bouche, tes spasmes me traversent, et je me noie dans la jouissance de ton corps qui m’avale, me serre, m’emporte avec toi.

Ton corps se cambre sur moi, tes mains glissent sur mon torse, tes gémissements se brisent en cris rauques. Je sens tes cuisses trembler contre mes hanches, ton bassin se soulever puis retomber avec une urgence désespérée. Mes mains quittent un instant tes fesses pour remonter sur ta taille, te tenir fermement, t’ancrer pour que tu ne bascules pas alors que ton corps se perd.

Tu te redresses d’un coup, haletante, ton dos arqué, la tête renversée en arrière. Tes seins tendus se dressent devant moi, hors de ma portée, mais mes bras se tendent vers eux, mes doigts les enserrent, les malaxent avec force, pincent tes tétons durcis. Je veux que tu puisses jouir sans crainte, sans retenue, je te soutiens, je te tiens comme un pilier pendant que ton corps s’abandonne.

Ton orgasme éclate, violent, électrique. Tes mains s’agrippent à mes avant-bras, tu cries mon prénom dans un souffle rauque, et ton sexe se contracte sur ma queue comme pour m’avaler jusqu’au bout. Ton corps tremble de la tête aux pieds, tes cuisses se crispent autour de mes flancs, et je te maintiens solidement par la taille, te guidant, t’empêchant de t’effondrer alors que ton plaisir t’arrache chaque soupir, chaque cri.

Puis tu retombes sur moi, épuisée, offerte, ton torse collé au mien. Je reste immobile en toi, savourant l’après-coup de ton orgasme. Plus de coups de reins, plus de gestes brusques. Juste mes doigts qui caressent ton dos du bout des phalanges, mes lèvres qui couvrent ta tempe et ton front de baisers tendres. Je t’enlace sans bouger, attendant que ton souffle revienne, que ton cœur retrouve son rythme.

Je n’ai pas joui. J’attends. Je savoure ton abandon, la moiteur de ton ventre contre le mien, la chaleur de ton sexe encore palpitant autour de ma queue. Et quand tu ouvres enfin les yeux pour replonger dans les miens, je te fais basculer doucement sur le ventre.

Je te fais basculer sur le ventre, je glisse deux coussins sous ton bassin pour relever tes fesses et ton dos s’arque aussitôt, offert, cambré. Je m’allonge sur toi, mon torse collé au tien, et je m’enfonce en toi d’un seul mouvement, lent, profond, savourant la chaleur brûlante qui m’accueille à nouveau.

Tu halètes, ton visage pressé contre l’oreiller, et je couvre ta peau de baisers, de morsures légères, de longues caresses de langue. Ta nuque, tes épaules, l’arrondi de ton oreille : je m’y attarde, je souffle mes mots brûlants directement à ton creux.

Chaque coup de reins est mesuré, étiré, toujours plus profond que rapide. Ma main passe sous toi, glisse entre ton ventre et le drap, trouve tes seins écrasés par ton poids. Je les malaxe, les relève pour les offrir à ma bouche quand je me redresse, et mes doigts s’attardent sur tes aréoles, les effleurent, les roulent lentement. Je sens tes tétons durcir sous mes caresses, et je joue avec eux, tantôt du bout des doigts, tantôt en les pinçant juste assez pour que tu cries, tantôt en les tordant légèrement pour déclencher une onde qui te fait frissonner de tout le corps.

— Offre-toi à moi… donne-moi ton plaisir… jouis encore, rien que pour moi…

Mes mots claquent contre ton oreille, mes dents mordillent ta nuque, mes mains possèdent ta poitrine. Ton dos se cambre davantage, tes gémissements se brisent en soupirs et en plaintes étouffées. Je serre ta taille de l’autre main, t’empêche de fuir, et chaque mouvement lent de mon bassin propage le plaisir que tu viens de prendre, l’allonge, le transforme en une jouissance nouvelle.

Tu retrouves ton souffle, ton corps encore parcouru de secousses, et quand tes yeux croisent les miens, ils brillent d’un éclat qui me fait frissonner. Nous nous enlaçons, nos bouches se retrouvent, nos mains glissent partout, avides, tendres, brûlantes. Nos corps se frottent, s’embrassent, se serrent encore, comme s’ils refusaient d’admettre qu’ils viennent de se consumer.

Puis je me redresse, mon regard plonge dans le tien, et je t’invite d’un geste ferme. Tu comprends aussitôt, tu te mets à quatre pattes devant moi, tes fesses offertes, ton dos cambré, tes seins suspendus, tendus, magnifiques. Ma main caresse tes reins, descend lentement jusqu’à la courbe de ton cul, et je viens poser mon gland contre ton sexe luisant.

Je joue, je frotte, je caresse ton intimité ruisselante, je sens ton excitation se raviver sous la torture délicieuse. Je me lubrifie, et ma queue remonte lentement, se cale contre ton petit cul déjà préparé. Je pousse, doucement, sans brusquer, et ton gémissement rauque m’arrache un frisson. Je t’emplis centimètre par centimètre, sans secousse, jusqu’à être entièrement en toi, profondément, puissamment.

Ton dos s’arque, ton corps s’offre. Je reste immobile quelques instants, savourant la chaleur qui m’enserre, puis je commence à bouger, lentement d’abord, savourant chaque millimètre de cette pénétration. Mes mains se posent sur ta taille, puis remontent à ta poitrine que j’empoigne fermement, soulevant tes seins tendus pour les présenter à ma bouche quand je me penche sur toi. Je les lèche, je les mordille, je dévore ta poitrine comme si elle m’était nécessaire pour respirer.

Je me redresse à nouveau, mes yeux glissent sur ton corps cambré, sur la courbe parfaite de ton dos, sur tes seins qui se balancent à chaque mouvement, et je me perds dans cette vision. Je te prends plus profondément, plus intensément, chaque coup de reins marquant ton corps comme une signature.

Je te sodomise lentement mais avec une intensité croissante, comme si je scellais en toi ce que nous sommes, comme si je finissais de marquer mon territoire. Chaque mouvement est une preuve de mon envie, de ma soif de toi, de ma volonté de te posséder toute entière.

“Offre-toi à moi… jouis pour moi… deviens mienne…” te dis-je dans un souffle…

Tes gémissements emplissent la chambre, rauques, saccadés, brisés par le plaisir qui t’arrache. Tu te cambres, tu cries dans l’oreiller, et je continue, plus profond, plus fort, jusqu’à ce que ton corps se tende, que tes cuisses tremblent, que tu jouisses à nouveau, entièrement, cette fois encore pour moi, rien que pour moi.

Mon souffle se fait court, mes reins claquent contre toi avec plus de force, mes mains se crispent sur tes hanches comme si je voulais les marquer de mes doigts. Je me retiens, je lutte contre l’instant, pour prolonger, pour intensifier, pour me perdre plus profondément encore dans la chaleur de ton corps. Tu te cambres sous moi, tu te redresses à moitié, offrant ta poitrine tendue, le cou raide de plaisir, et je sens que toi aussi tu es à la lisière.

Alors je cède. Mon corps se tend, mes yeux se ferment, et je jouis, puissamment, profondément, au fond de ton cul qui me serre comme pour me retenir. Le sperme jaillit en vagues chaudes et violentes, se répandant au plus profond de toi, et l’instant où je me vide déclenche ta propre déflagration. Tu cries, tu trembles, tes contractions serrent ma queue, chaque onde de ton orgasme démultiplie le mien, et la sensation de mon plaisir qui coule en toi te fait basculer dans une folie douce.

Nous jouissons ensemble, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, jusqu’à ce que nos corps n’aient plus de force, jusqu’à ce que nous nous effondrions, haletants, vidés, mais encore liés.

Je reste un instant en toi, savourant cette union ultime, puis je me retire avec une lenteur presque douloureuse. Quelques gouttes de sperme s’écoulent aussitôt de ton cul, et je vois ton trouble dans la façon dont tu te cambres légèrement, comme si la sensation te bouleversait plus que tout. Je m’allonge à côté de toi, t’attire dans mes bras, et nous nous retrouvons, apaisés, dans une étreinte tendre. Nos doigts se caressent, nos souffles s’entremêlent, et nous savourons ensemble l’intensité unique de ce que nous venons de vivre.

Puis nos lèvres se retrouvent encore, longuement, avides malgré la fatigue, et je sens dans ton corps le désir qui renaît déjà, doux, diffus, inévitable. Le chapitre s’achève sur ce baiser infini, mais dans nos regards, dans nos gestes, dans nos souffles, il est clair que ce n’est pas une fin.

C’est une ouverture.
Un appel.
La promesse d’un plaisir encore plus brûlant au prochain chapitre.



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