Il fait noir, ou presque. La chambre est encore tiède de nos corps, de nos soupirs, de cette soirée que nous avons repoussée jusqu’à ses derniers souffles. Tu es blottie contre moi, nue sous les draps, lovée comme un secret sous ma peau. Mon bras entoure ta taille. Ton souffle est lent, profond, presque régulier.
Et puis… quelque chose bouge.
Ta main. Elle glisse. Lentement. Sur mon torse, sur mes côtes, s’attarde juste au creux de mon ventre. Tes doigts dessinent des cercles distraits sur ma peau. Je ne bouge pas. Pas tout de suite. Je te laisse faire. Je t’écoute.
“Tu dors ?”
Ta voix est douce, râpeuse, encore voilée de sommeil, mais j’y sens une lueur, un éclat, un sourire qui se dessine sans lumière.
“Je dormais”
“Mmm… désolée.”
Tu ne l’es pas. Pas vraiment.
“Tu sais, ce que tu as dit… à propos du menu. Des tenues que je n’ai pas choisies…”
Je t’entends avaler ta salive. Tu es réveillée depuis un moment. Tu y penses depuis que ton corps a fini de frissonner. Ta curiosité est plus forte que la fatigue.
“Tu veux les voir ?”
Tu hoches la tête dans l’ombre, et même si je ne le vois pas, je le sens, juste là, contre ma clavicule.Pas besoin de te voir pour savoir que tu es bien éveillée , que la curiosité te brûle de l’intérieur… Et que tu es déjà trempée d’excitation, probablement.
Je m’écarte doucement, soulève les draps, et me lève. La pièce est sombre, mais je connais le chemin. J’ouvre le tiroir préparé, sans bruit. Tu t’assieds dans le lit, les genoux repliés sous toi, le drap remonté à peine sur tes hanches. Tes cheveux sont en bataille, ton regard brille dans l’obscurité. Dans le tiroir , plusieurs boites , toutes de tailles et d’aspects différents.
Je dépose une première boîte sur le lit et te laisse l’ouvrir : elle contient un ensemble veste de costume et jupe crayon ainsi qu’une paire de talons hauts.
“Je suis censé porter l’ensemble …nue dessous ?”
“il s’agit du chasselat , un vin blanc , léger presque floral , alors j’avais prévu une tenue à la fois strict et sensuelle , sans fioriture donc en effet , tu l’aurais portée nue“
“Je peux ?”
“Je n’osais te le proposer…”
Et ce qui était un élan de curiosité de ta part devient un jeu à part entière : tu passes par la salle de bain , te prépare et ressort parée de la tenue , débordant d’assurance et de sensualité , la veste volontairement laissée ouverte pour que je puisse admirer ta poitrine.
Je me releve et te dis “Je voudrais immortaliser tout cela , j’ai mon reflex , on pourrait se faire une séance et un album secret où tu serais toutes les incarnations des vins de la carte.”
“Dis moi juste où et comment ..”
Nous allons dans une pièce à côté , le bureau et tu t’installes naturellement dos à la mer , le mélange des lumières de la nuit étoilée et du couloir encore éclairé souligne tes formes avec féérie et fait briller de mille feux ton collier de soumise. Assise les jambes croisées, tu me regardes , me provoques , séduit l’objectif , te penchant pour que tes seins me perturbent et t’amuse de me voir bander comme le très peu professionnel photographe que je suis… Je divague entre deux déclenchement , m’imaginant venir relever ta jupe et te prendre sans préliminaire , glissant ma main sur tes mamelons tendus et laissant nos baisers enflammer nos corps. Le bureau est assez haut , je n’aurais pas besoin de te soulever beaucoup , tes bras s’enrouleraient autour de mon cou , tes jambes entoureraient mes reins et ta chatte aspirerait mon sexe avec gourmandise. Les coups de reins seraient plus intense , une de tes mains quitterait mon cou pour te permettre de prendre appuie derrière toi et au moment où l’intensité est la plus forte … je reviens à la realité , prends un dernier cliché avant de venir vers toi , t’embrasser , te caresser les reins et , approchant ma bouche de ton oreille , te glisser

“Pässons au vin suivant veux tu ?”
ta main glisse jusqu’à mon entrejambe et aprés avoir caressé mon sexe à travers l’etoffe , tu te releves et te dirige vers la chambre et dis d’un ton mutin
“A vos ordre , cher Monsieur P… voyons quel autre délice tu avais préparé”
Une fois revenu à la chambre , je me saisis d’une autre boite , à l’emballage immaculé serti d’un ruban nacré. Te tendant la boite , je te décris le vin qu’elle représente.
“Le chardonnay de Bourgogne : un blanc classique et classieux , élégant jusqu’à la derniere goutte”
Tu ouvres la boite et découvre un ensemble de lingerie fine intégralement blanc : soutient gorge , tanga et bas d’un blanc brillant qui tranche avec les ensembles noirs que je t’ai toujours donné l’impression de préférer.
“il est magnifique…” dis tu , un sourire éclatant aux lèvres.
“eh bien ? qu’attends tu alors… fais moi rêver encore…”
tu quittes le costume d’executive woman et enfile très délicatement chaque pieces , prenant tout ton temps , me donnant l’impression de vivre un strip tease à ceci près que tu te parres d’atours au lieu de les effeuiller
Assis dans un des fauteuil de la chambre , je t’admire en silence , et imagine déjà mes mains sur ton corps , alternant entre peau et dentelle , en savourant la chaleur et m’amusant de savoir ton vagin déborder de cyprine , prêt à exploser si je venais à passer sous l’étoffe pour appuyer sur ton clitoris.
Une fois fin prete , j’étend le drap de soie noir sur le lit , dispose quelques bougies , éteint toutes les autres lumiere et te fait t’allonger.
Puis , jouant avec le miroir du plafond , je capture cette image presque irréelle de toi.

Mon esprit s’évade et je m’imagine déjà accroupi au bord du lit , glissant mon visage entre tes jambes et après avoir écarté le peu d’étoffe me séparant de mon obsession , je te lecherai à t’en faire gémir. je glisserai ma langue d’abord sur ton clitoris si gonflé par l’excitation : avec la pointe de ma langue je le soulèverai et te ferai te cambrer de plaisir. Je glisserai ensuite un puis deux doigts dans ta chatte et viendrait tapoter ton point G tout en continuant de torturer ton clitoris avec mes lèvres , mes dents… je le sucerai aussi fort que tu peux aimer le faire avec ma queue , le ferai se gorger de sang pour décupler ton plaisir et le faire irradier jusqu’à l’interieur de ton con , précisement là où mes doigts redoublent d’effort pour te faire jouir. Tu inondes ma bouche , mes doigts et ton parfum me rend fou alors j’en profites pour glisser un troisieme doigt et frotter l’interieur de tes chairs les plus sensibles bien plus fort que ce que j’ai pu le faire jusqu’à présent: tes mains se crispent autant que tu te tortilles de plaisir , tes jambes se replient instinctivement dans mon dos , tu écartes toujours plus les cuisses. mes doigts sont tellement lubrifiés par ta mouillure que lorsque je décide d’aller m’attaquer à ton cul , je rentre sans aucun effort . La caresse te plait peut être plus encore tu remontes le bassin pour me permettre de faire des va et vient puissants et rapides , mimant de mes doigts une sodomie frénétique où je peux sentir à quel point ton anus s’ouvre et m’acceuille toujours plus profondement. Mes vas et vient te rendent folle , ta main vient dans mes cheveux m’encourager à te lécher et te doigter toujours plus fort. Et lorsque tu arrives au bord de l’orgasme … je reviens à moi , le reflex entre les mains et je savoure chaque seconde de cette vision divine , mon érection témoignant de l’intensité de ce que je viens d’imaginer.…
Un peu abasourdi par ces images , je me rapproche du lit , dépose un tendre baiser sur tes lèvres avant de descendre tout le long de ton corps pour m’enivrer de ton parfum avant de me relever et de saisir une nouvelle boite et la déposer sur le bord du lit.
“Le pinot noir de Neuchatel , une structure audacieuse et sucré en bouche via une touche de cerise…”
Tu te relèves et ouvre la boite comme une enfant le soir de noel : tu en sors un chemisier blanc presque transparent et une jupe noir
Tu n’attends ni ne dit un mot , gardant la lingerie blanche tu enfile les vêtements et la seule chose qui me vient à l’esprit en te voyant c’est que tu es une apparition …
Alors je décide d’en jouer , d’aller au bout de cette vision et je t’emmène dans la cuisine et te fait monter sur la table. avant d’éteindre toutes les lumieres.
A travers la fenêtre , la lune éclaire ton corps et si le blanc du chemiser etincelle , la robe noire absorbe la lumiere donnant un la scéne un coté irrelle , presque gothique.
“Tu es si belle…”

sans même y réfléchir , les mots sont sortis de ma bouche et tu décides d’en jouer , prenant la pose devant mon objectif gourmand.
A un moment , tes jambes s’écartent et je m’imagine instantanément me glisser derrière toi : je m’imagine te faire venir contre moi , puis posant une main sur ton cou , je ferai descendre l’autre jusqu’à ta chatte trempée , guidé par tes cuisses qui s’écartent et je commence à te doigter si fort que ton corps tout entier se tends , ta chatte pulsant plus fort à chaque pénétration digitale et au fur et à mesure que tes tremblements se propage , les rythme s’accélère. je ne te laisse pas bouger , je te prends comme j’en rêve et je te pousse au bout de l’orgasme , serrant toujours plus précisement ma main autour de ton cou offert , ta jouissance inondant la table lorsque ton orgasme se traduit par une puissante giclée et que la jupe soit gorgée de ce plaisir intense…
mais je n’ai pas bougé et il ne s’est écoulé qu’une poignée de secondes .. ta simple présence électrise mon imagination et je ne m’en cache plus , n’hésitant pas à caresser ma queue à travers l’étoffe sous ton regard gourmand …
Je te prends par la main et te dis “Viens , continuons.. j’ai tellement envie de toi que des millions d’images me passent par la tête .. et j’ai envie de les concrétiser…”
A peine arrivé à la chambre , je saisis une boîte rouge bordeaux et t’intimes de te déshabiller entièrement.
“Celui- ci est de loin mon préféré…” te dis je dans un sourire
pendant que tu te déshabille , je sors un ensemble composé d’un bustier rouge et de la culotte assortie , une paire de menotte en cuir et des bottes hautes en cuir souple.
Je vais m’assoir dans le fauteuil et cette fois ci , je ne me retiens pas : pendant que tu t’habilles , je sors mon sexe du caleçon que j’avais enfilé à la vas vite et je me caresse lentement , sans te quitter un instant des yeux , hypnotisé par la sensualité que tu dégages…
Une fois la tenue mise, je me glisse derrière toi et te passe les menottes dans le dos avant de t’emmener jusqu’à l’entrée. Là , je te fais t’agenouiller sous le lustre pour que la lumière tombe sur tes épaules et je te fais t’agenouiller , t’intimant de ne pas surtout pas bouger. Et tu t’executes , excitée par le son de ma voix autant que par l’érection que je ne cache même plus.
Je me recule de quelques pas et m’accroupi , au plus bas avant de pointer mon appareil vers tes fesses appuyée sur tes talons et je n’ai besoin de presser le déclencheur qu’une seule fois pour capturer ce portrait erotique
“le Brunello di Montalcino incarné à la perfection …” dis je dans un souffle

puis me relevant , je me place dans ton dos , te faisant relever instinctivement le visage vers l’arrière. Je caresse tes cheveux , descend vers tes seins puis je m’accroupis pour venir caresser ta chatte à travers l’etoffe déjà trempée d’excitation.
“Ne bouge pas…”
Je me relève et marche calmement jusqu’à la chambre. étant dos au couloir tu ne sais pas du tout ce qu’il se passe et attend dans la position que je t’ai donné.
Tu entends mes pas se rapprocher et lorsque je viens me mettre à hauteur de ton epaule , tu constates que je suis nu , que mon sexe est gonflé à l’extreme par l’excitation.
puis viens la brûlure
un simple coup de poignet à donné assez d’élan à la cravache pour faire rougir ta fesse droite
tu hoqueter de surprise puis gemis
“Suces moi….”
tu m’as rarement entendu avec autant de désir et d’autorité dans la voix , deux mots seulement et pourtant tu ressens toute la puissance et la pression qu’ils sous -entendent … je me tourne pour que ma queue soit facilement accessible car je ne t’ai pas dit que tu pouvais bouger. tu connais les règles , tu aimes tout ce que cela représente..
Ta bouche s’ouvre , ta langue s’étire, vient caresser mon vit tendu et gonflé qui frétille à son contact. Je ferme alors les yeux pour mieux sentir la chaleur de ta bouche alors que tes lèvres m’avalent lentement… Tandis que ta bouche s’occupe de ma queue , la cravache joue avec tes fesses , te faisant attendre , effleurant ta peau puis d’un coup de poignet , le cinglement du cuir sur ta peau te fait tressaillir mais tu dois garder le contrôle… c’est la règle de ce petit jeu : tu ne dois pas cesser de me sucer ni bouger alors que ma verge te rempli toujours plus la bouche et que la cadence des coups sur tes fesses te rend folle … Je te prends la bouche, te baisant sans aucune tendresse , te faisant me sucer entièrement ou amenant mes bourses pour que tu t’en occupes . Une main dans tes cheveux , l’autre continuant à distiller les claquements secs sur ton cul , tu n’existes plus que pour mon égoïste plaisir et paradoxalement , cela déclenche des ondes de chaleur en toi , ta chatte palpitant comme rarement à cause de l’excitation.
Je me retire de ta bouche puis tourne autour de toi , donnant un coup sur la partie dénudée de tes cuisses , tout proche de ton vagin que je devine pulsant sous le tissu tellement fin. je sens l’odeur de ta mouillure , je vois dans tes yeux le désir et je savoure de t’avoir pour moi , libre d’être celle que si peu oseraient t’imaginer être … une magnifique salope , avide de plaisir , de tous les plaisirs…
la cravache frappe au niveau de tétons et te font pointer instinctivement
“lèche…”
juste un mot avant de présenter la cravache devant ta bouche et je te regarde intensément passer ta langue sur le cuir , jouant avec comme tu le fais de mon gland , souriante et si bandante à la fois…
“tu es parfaite A.. si parfaite…” te dis-je d’une voix beaucoup plus douce signifiant la fin de ce petit jeu si excitant pour moi. “Viens , il nous reste des photos à faire avant que je ne te baise comme tu le mérites…”. Je détache les menottes t’aide à te relever avant de t’embrasser fougueusement et de caresser ta peau pour m’assurer que la cravache n’a pas été trop profondément dans ta peau fragile. Notre étreinte est aussi douce que l’instant d’avant était intense et cru mais il ne faut que quelques secondes et quelques pressions de nos bassins l’un contre l’autre pour que ce moment de tendresse ne s’embrase pour quelque chose de beaucoup plus torride… Je t’entraine avec moi direction la chambre
“il nous reste encore 2 coffrets…”
Je te tends une boite en cuir noir nouée d’une … laisse ?
Tu ouvres le paquet et découvre une tenue en cuir intégrale avec , idéalement placées , quelques discrètes ouvertures pouvant être camouflées…et au niveau du torse est attachée la laisse qui entourait le paquet. Sans l’ombre d’une hésitation , tu te déshabilles intégralement et enfile la combinaison à même ta peau nue , savourant le contact chaud du cuir et te caressant inconsciemment pour mieux en profiter… tu es divine , féline et si excitante…
« Le Syrah du Rhône puissant et sexy , aux aromes marqués par le soleil et les épices orientales… et tu l’incarnes à la perfection… »
Je t’emmène t’allonger près de la fenêtre de la chambre ou se trouve le fauteuil en cuir d’où je t’observais t’habiller, puis après avoir éteint les lumières , je t’invite à te tourner vers moi …

L’image est à couper le souffle : tes courbes soulignées par la lumière de cette nuit étoilée , la laisse qui coure jusqu’à ma main et ton regard ne laisse aucun doute sur le désir qui brûle ton bas ventre en ce moment même. De peur de ne pas capter la tension de l’instant , je prends plusieurs clichés en rafale , subjugué par le moment et luttant contre ma voix intérieure m’intimant de jeter mon appareil pour venir te baiser , là , maintenant , tout de suite…
Les photos sont faites , le temps est suspendu et l’un comme l’autre nous ne tenons plus..
Je me lève et viens vers toi , te faisant te retourner pour t’agenouiller sur le fauteuil , m’offrant ton cul comme une chienne , te caressant l’entrejambe comme si je ne savais pas à quel point tu mouilles… j’ouvre la combinaison pour accéder à tes fesses et je m’agenouille par terre pour pouvoir te lécher non pas la chatte cette fois ci mais ton petit cul serré… j’écarte fermement tes fesses et vient lécher ton anus , le pénétrant de ma langue et jouant avec la zone la plus sensible de ton corps. Tu ondules , gémis, feule , réclame … tantôt offerte , tantôt avide , tu bouges au rythme de mes coups de langue et de mes doigts qui ont pris d’assaut ton vagin et ton clito gonflé.tu te cambres , te crispe sur le cuir du fauteuil , m’encourage toujours plus …
“encule moi … je n’en peux plus…”
tu sais le pouvoir des mots , tu sais à quel point j’y fais attention et tu sais surtout à quel point tu m’excites lorsque tu me demandes cela… et cela marche..
Je me relève et sans dire un mot , présente mon gland à l’entrée de ton cul : j’appuie lentement mais fortement et te pénètre de toute ma longueur , millimètre par millimètre , allant au fond de toi jusqu’à ce que mes bourses viennent frotter contre ton vagin luisant de mouillure. Je me retire tout aussi lentement , te faisant souffler fort et ne pouvant m’empêcher d’en sourire. Ma queue sort entièrement de toi , je la fais tapoter contre ton clito pour te faire râler avant de me présenter à nouveau devant ton anus et y rentrer d’un coup cette fois , t’arrachant un cri de plaisir intense. je ressors à nouveau , ne rentre que le gland puis ressort .. je joue avec ton cul et te rend folle : ton corps tremble à chaque pénétration , tes cris sont de plus en plus rauque et ma queue glisse de plus en en plus vite .. mais rapidement , je ne joue plus , j’ai envie de te prendre , de te baiser , de te faire jouir alors mes va et vient se font plus fort , plus profond , plus sourds. Mes hanches frappent contre tes fesses toujours sensibles après les coups de cravaches et ce malgré le cuir qui les protège en partie. Je me penche en avant , m’appuyant à mon tour sur le fauteuil pour te prendre toujours plus profondément et de plus en plus vite. Le plaisir est palpable , nous n’arrivons quasiment plus à respirer et nos mouvements sont chaotiques tant ils sont guidés uniquement par le désir brut et la recherche du plus extrême des plaisirs. Je te baise si fort par le cul que je peux sentir les vagues de ton orgasme monter rapidement : ton anus se contracte de plus en plus autour de ma queue et chaque frottement de mon gland est amplifié aussi bien pour toi que pour moi. Tu te cambres de plus en plus et je me redresse pour t’amener à un orgasme intense et viscéral , qui fait trembler tes jambes et te tenir au dossier pour reprendre ton souffle.
“Tu n’as pas joui ?” me demandes tu soudain
“Nous n’avons pas fini , il reste un coffret…” te répondis- je pendant que je me reculais un peu pour te laisser t’asseoir dans le fauteuil.
Je vais chercher le dernier paquet , d’un satin rouge brillant.
“Tiens , devient le sauterne le plus surprenant qui soit…”
tu t’adosses au fauteuil et ouvre le paquet que je t’ai tendu. tu t’attendais à quelque chose de clair et pourtant il s’agit d’un kimono d’un rouge vif aux fines broderies dorées et d’un obi aux couleurs chatoyantes lui aussi. tu es surprise mais finalement, tu reconnais la douceur du vin et les pointes de miel à travers l’étoffe et les dorures.
Tu te relèves et te change , non sans t’amuser auparavant dans ta tenue en cuir , jouant les espionnes ou les héroïnes chatte de bande dessinée ..
Lorsque tu passes le kimono , l’ambiance change soudainement et tu ne peux t’empêcher de sourire tout en effectuant quelques pas et mouvements amples que le kimono sublime dans une danse lyrique.
Je reprends mon appareil photo et nous nous rendons dans le salon où je te fais t’asseoir sur une des chaises , appuyée sur la table , tes cheveux tombant le long de ton dos , tu as volontairement laissé tes fesses visibles, la cambrure de ton dos donnant à la scène un érotisme fascinant. Je trouve le bon angle , prends quelques clichés puis relève un peu la tête de l’objectif pour juste t’admirer , graver l’instant pour ne jamais l’oublier , savourer chaque millimètre de ce corps que la lumière à sublimé…

Je m’approche de toi , viens chercher un baiser plus romantique qu’à l’accoutumée : la soie du kimono ne m’inspire pas une débauche de sexe , tout au contraire. Je te fais t’allonger sur la table et commence à te doigter très délicatement , jouant avec les parois de ton vagin tout en embrassant délicatement tes seins , les léchant et les suçant avec douceur. les mouvements de mes doigts dans ton sexe te font bouger délicatement du bassin et je sens ton vagin aspirer mes doigts pour me guider en toi un peu plus profondément à chaque fois. Tu relève la tête et m’embrasse , jouant de ta langue sur la mienne au rythme de mes caresses , me faisant instantanément bander lorsque mon regard croise le tien. mes mains quittent ton intimité pour t’écarter les jambes et les relever un peu pendant que je me positionne entre tes cuisses brûlantes. Attiré comme par aimant , ma queue s’enfonce dans ta chatte chaude et humide sans aucun à-coups et ton souffle lorsque je suis entré jusqu’à la garde confirme l’envie que tu pouvais avoir toi aussi.. Pas de fioriture, pas de débauche , pas de cris : nous baisons dans la douceur et le silence ,savourant chaque frottement , chaque caresse et parlant par de simples regards. Une de mes mains quitte ta cuisse et s’aventure sur ton corps , alternant entre étoffe de soie et peau tout aussi douce. Mes gestes sont lents , précis , au diapason de la pénétration qui t’emmène progressivement à l’orgasme : tes mains viennent chercher la mienne , la guide sur tes seins , l’emmène à ta bouche où ta langue joue avec mes doigts à m’en faire mordre mes lèvres. Une de tes mains fais le chemin inverse , libère un de tes sein pour jouer avec ton téton tendu. Puis lorsque tu as bien joué avec , tu descends jusqu’à ton bassin et ton clitoris gorgé de sang par l’excitation que tu caresses en rythme avec mes coups de reins.
Mon souffle se fait plus court en écho au tien : nos mouvements se font plus intenses jusqu’à ce que nos bassins soient collés l’un à l’autre et que je sente tes doigts frotter ton clito. Ta bouche lèche silencieusement mes doigts mais ta main libre ne te sers plus à me guider , elle te retient à la table alors que nous arrivons tous les deux à notre limite. C’est finalement moi qui craque en premier , tout au fond de ta chatte chaude et inondée de plaisir. Lorsque tu sens le sperme gicler et s’écouler en toi , tu t’autorises à jouir dans un silence absolu et presque sacré , avant d’entourer mon bassin de tes jambes pour te relever et venir chercher un baiser profondément doux…
Nous restons ainsi de longues minutes à nous embrasser toujours collé l’un à l’autre et lorsque j’ouvre les yeux , c’est pour voir les premiers rayons du soleil passer à travers tes cheveux les rendant encore plus enflammés qu’à l’accoutumé.Je te regarde et je comprends. Cette fois, ce n’est pas une photo que je veux garder. C’est l’instant lui-même.
“Allons nous coucher , je n’ai pas envie que le soleil t’enlève à moi…”