Ambiance Musicale


“Couple joueur cherche partenaire pour une soirée privée pleine de douceur et de volupté”

C’est par ces quelques mots que pour la première fois nous avons sélectionné des partenaires de jeux et ton dévolu s’est jeté sur Damien et Clara, un couple de libertins un tout petit peu plus jeune que nous mais qui serait parfait pour une première fois car plus adeptes des rapports parallèles que mélangés. Ce mix de voyeurisme et d’exhibitionnisme t’a rassurée et excitée à la fois et le fait que Carla ait tout de suite assimilé le fait que tu n’étais pas BI (ou plutôt “disons juste pas encore bi…” comme j’ai souvent tendance à te dire…) a fait que je me suis permis d’organiser une soirée et que tu y assistes en tant que soumise officiellement, là aussi , pour la toute première fois. 

Après une journée déjà riche en étreintes et autres caresses, nous nous retrouvons dans la cuisine, encore électrisés par nos jeux intimes. Tu portes juste une chemise à moitié ouverte, presque transparente, dévoilant chaque courbe de ton corps, et je lutte pour ne pas te sauter dessus immédiatement tandis que nous commençons à préparer le repas pour ce couple d’amis libertins qui doit arriver bientôt. Une lumière tamisée baigne la pièce, et une mélodie jazzy flotte dans l’air, enrobant l’atmosphère d’une sensualité diffuse qui fait écho à nos désirs toujours brûlants. Entre deux ingrédients sortis du frigo, nous dansons, nous embrassons, nous enlaçons , laissant les mains flâner.

Je m’attelle à découper le poulet en morceaux réguliers, le couteau glissant dans la chair tendre, pendant que tu te charges de la marinade. Tes gestes sont précis, presque dansants : tu râpes le gingembre avec une grâce féline, presses le citron dont le jus éclabousse légèrement tes doigts que tu t’empresses de sucer suavement, et verses la sauce soja dans un bol, son parfum salé se mêlant à l’odeur piquante des épices. Mais ce qui m’hypnotise, c’est la façon dont la chemsie effleure tes hanches à chaque mouvement, laissant entrevoir tes fesses nues. Mon sexe se tend immédiatement dans mon boxer , impatient et affamé… 

Tu me jettes un regard en coin, un sourire malicieux jouant sur tes lèvres. « Cette marinade va avoir du caractère, Monsieur P… un peu comme toi. » Ta voix, rauque et provocante, résonne en moi comme une invitation. Je pose mon couteau, incapable de résister plus longtemps, et m’approche de toi. « Vraiment ? Il faut que je goûte ça. » Je me glisse derrière toi, mes mains enserrant ta taille, et presse mon érection contre tes fesses. Tu soupires doucement, te cambrant juste assez pour m’encourager. Mes doigts remontent vers tes seins, caressant leur rondeur à travers le tissu fin, et je sens tes tétons durcir sous mes paumes. 

« Toujours aussi réceptive, Mademoiselle A… » 

« Et toi, toujours aussi vorace », murmures-tu en te retournant, tes yeux pétillants de désir. Sans attendre, tu te laisses glisser à genoux devant moi, tes mains habiles s’attaquant à mon boxer avec une impatience contenue. Mon sexe surgit, déjà raide, palpitant sous ton regard gourmand, et tu le prends entre tes doigts, le caressant d’abord doucement, comme pour en savourer la chaleur et la tension. Ta langue effleure mon gland, traçant des cercles délicats, presque hésitants, avant de t’attarder sur la peau sensible juste en dessous, la titillant avec une lenteur exquise qui me fait frissonner. « Fais attention, ma belle… tu joues avec le feu là… » dis-je, la voix tremblante d’excitation et de plaisir , tandis que mes mains trouvent tes cheveux, les agrippant légèrement pour te guider.

Tu lèves les yeux vers moi, un éclat de défi dans le regard, et murmures : « Je veux te sentir perdre le contrôle… » Puis, sans prévenir, tu m’engloutis entièrement, tes lèvres chaudes et fermes m’enserrant avec une avidité qui m’arrache un gémissement guttural. Ta langue danse le long de ma verge, explorant chaque veine, chaque relief, tandis que ta main libre s’enroule à la base, serrant juste assez pour accentuer la pression. Je sens ta salive couler légèrement, lubrifiant tes mouvements, et tu commences à me prendre plus profondément, tes lèvres glissant jusqu’à la racine avant de remonter, lentes, puis rapides, alternant le rythme comme une vague qui me submerge. Mes hanches tressaillent malgré moi, et je te tiens plus fort, mes doigts crispés dans tes cheveux. 

« Ma petite diablesse… tu sais trop bien me faire plier… »

Tu gémis en réponse, le son vibrant contre mon sexe, et tes yeux restent rivés aux miens, pleins de cette soumission joueuse qui m’enivre. Tes doigts s’égarent vers mes bourses, les caressant doucement, puis les pressant avec une audace qui fait monter le plaisir à une vitesse vertigineuse. Ta langue s’attarde à nouveau sur mon gland, le léchant comme une friandise, avant de replonger pour m’aspirer avec une force qui me coupe le souffle. Je sens la chaleur de ta bouche, la pression de tes lèvres, et l’envie de me laisser aller est presque irrésistible. « Pas encore, ma belle…» dis-je, haletant, te relevant avec effort, nos regards complices se croisant dans un sourire chargé d’électricité. En rythme avec la musique je te place dos à moi , appuyée sur l’îlot. accroupi derrière toi je relève la chemise et saisis tes fesses à pleine main pour les écarter. Instinctivement tu te cambres et  te penches en écartant les jambes tandis que ma langue viens se coller à ton cul offert et s’immisce en toi sans aucune retenue , t’arrachant des râles de plaisir amplifiés par ma main qui joue avec ton clito gonflé ou viens se glisser dans ta chatte déjà trempée de désir.Ma langue glisse et je me délecte de te voir te cambrer toujours plus accentué par ton visage pointé au plafond et m’aider à écarter encore plus tes fesses pour que je puisse pénétrer plus profond, collant ma bouche et durcissant le plus possible pour butiner ce cul offert… 

« Viens… encule moi … ta langue ne suffit plus… »

N’y tenant plus, tu me demandes de te prendre et à peine as-tu prononcé ces mots que je me redresse pour t’enculer d’un coup de rein en te tenant par la taille et que tu me guides du bout des doigts au fond de toi. Tu relèves une de tes jambes pour la poser sur un tabouret et ondule du bassin, aspirant ma queue au fond de toi, mes mains posées sur tes reins te tenant fermement pour donner le LA de cette symphonie obscène. J’ai l’impression de sentir tous les muscles de ton anus serrer ma queue comme quand ta main pressait les citrons et le plaisir que tu sembles prendre enflamme encore plus mes sens. Mes coups de reins se font plus fort , plus profond , la peau de mes jambes claque contre tes fesses , mes bourses volent et fouette ton vagin pour les inondées de ta cyprine. 

« Encore, ENCORE… »

Le plaisir monte en toi par vague , te faisant parfois te raidir et te relever pour faire pointer tes seins défiant la gravité ou au contraire tu t’allonges telle une chatte pour t’accrocher au bord de l’ilot. Mes va et vient se font de plus en plus rapides et puissants faisant bouger le tabouret et t’accrocher toujours plus fort 

« Là, OUI , je viens…Ne t’arrêtes pas ! »

Mes mains claquent sur tes fesses et les écarte au maximum avant de te prendre le cul dans un chaos de gémissement et de jouissances partagées quand ton corps se tend brusquement et que je peux sentir la décharge électrique remonter le long de tes reins , ton dos pour atteindre ton visage. L’orgasme parcourt ton corps et tu es prise de quelques soubresauts avant de reprendre ton souffle , ma queue toujours au fond de ton cul . tu reposes ta jambe au sol , et me laisse t’enlacer , t’embrasser , te caresser , cherchant à prolonger encore un petit peu cette bulle de sensualité… Puis enfin je me retire de toi, te retourne et l’embrasse à pleine bouche.

Nous allons tous les deux à la salle de bain , histoire de nous laver les mains .. ce qui finit inexorablement par une bataille d’eau pour finir de rendre transparente ta chemise…

Tu en profites pour laver ma queue , toujours du bout des doigts , menaçant de me faire gicler à chaque pression …

« A ? si on ne s’y remet pas, on va finir par commander une pizza… »

« Mmmm … c’est pas mal pizza en fait… ça se mange avec les mains… comme d’autres choses.. » dis tu avec un sourire avant de nous lacher mon sexe et moi d’un coup pour retourner en cuisine , tout en prenant bien la peine de relever ta chemise pour que je puisse admirer tes fesses une dernière fois…

Nous reprenons la préparation, mais l’air entre nous est saturé de tension. Nos mains se frôlent en enfilant les morceaux de poulet sur les brochettes, nos corps se cherchent à chaque instant. Alors que tu te penches pour attraper un bol, je glisse une main sur tes fesses, les pétrissant avec fermeté. Tu te redresses, un feu dans les yeux. 

« Si tu continues, on ne finira jamais… »

« Peut-être que je n’ai pas envie de finir en fait… », dis-je en te soulevant pour t’asseoir sur l’îlot de cuisine. Tes jambes s’écartent naturellement, ta chemise purement décorative depuis déjà quelques minutes remontant pour révéler ton sexe luisant d’excitation. Je me place entre tes cuisses, frottant mon membre dur contre toi. « Tu es encore trempée… »

« Prends-moi, maintenant », souffles-tu, mi-ordre, mi-supplique. Je te pénètre d’un coup, profondément, ton cri résonnant dans la pièce. Mes mains agrippent tes hanches, et je te prends avec ardeur, nos corps s’accordant au rythme de la musique. Ma bouche se perd entre tes lèvres , ton cou , tes seins selon que tu te cambres en arrière ou au contraire t’accroches à moi, tes ongles marquant ma peau. L’orgasme et l’excitation de nos corps est telle que je sens ton plaisir monter presque immédiatement. 

« Jouis, ma magnifique salope… donne toi encore à moi … jouis et sois à moi…» 

Ton corps se tend, un gémissement rauque s’échappe alors que l’orgasme te traverse…

Fier de ma petite vengeance, je te fixe droit dans les yeux, t’embrasse avant de venir lécher le bout de tes seins pleins, me laissant enivrer par l’odeur de ta jouissance…

Puis ne te laissant aucun répit, je reprends mon coït, te couchant sur la table pour relever tes jambes et te prendre de plus en plus profondément. Tes gémissements font écho à mes râles, nos corps et nos âmes en fusion. Les mots défilent, trahissant une excitation à son paroxysme et servant d’exutoire au plaisir

« J’aime te baiser, j’aime te prendre, j’aime que tu sois à moi , que tu sois MA salope … »

Ma main serré autour de ton cou, ton corps arqué, tes jambes enroulées autour de ma taille, l’excitation rythme nos ébats jusqu’à un orgasme commun , intense et bruyant et comme après avoir passé le mur du son , le silence qui s’en suit n’est brisé que par le bruit de mes lèvres contre les tiennes , d’un baiser sensuel , long , valant mille mots. Et de nos yeux, plongés l’un dans le regard de l’autre, où tendresse , désir et confiance absolue se lisent…

Essoufflés, nous nous redressons. Je te prends dans mes bras, un baiser tendre scellant ce moment. « Bon, il faut finir maintenant… ils arrivent bientôt. »

Tu ris, mutine. « Oui, et je suis certaine que ces fraises vont leur échauffer le corps autant que le reste…  » Nous terminons les brochettes et les réservons au frais  puis préparons les fraises, nappées d’un sirop de canne relevé de gingembre et de piment d’Espelette. L’odeur épicée flotte dans l’air, mêlée à celle de nos corps encore chauds. Nos mains électrisent nos corps à chaque fois qu’une occasion se présente  , comme lorsque tu t’appuies contre moi pour couper les fraises , faisant bien exprès de placer ma queue encore tendue entre tes fesses et me laisse caresser tes seins ou dévorer ton cou.

L’heure tourne et il est temps de se préparer à recevoir nos invités , tu descends l’escalier dans une magnifique petite robe noire sublimée par tes atours dont le collier de soumise que tu portes si fièrement. Et je ne peux m’empêcher d’avoir un moment d’absence , me demandant comment je vais pouvoir tenir et ne pas te prendre immédiatement encore…  

La sonnette retentit pile à temps. Je te lance un regard complice. « Prête ? »

« Toujours, Maitre P », réponds tu , là encore pour la première fois. Ta main effleurant mon sexe une dernière fois, promesse d’une soirée qui ne fait que commencer.

—— TO BE CONTINUED ——

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