Ambiance musicale
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Dans une râle d’excitation tu prononces “Viens… j’ai juste envie de la sentir tout au fond de mon cul…”
D’un mouvement ferme je fais entrer ma queue en toi , y allant doucement et progressivement pour ne pas t’irriter et toi écartant une fesse avec ta main pour faciliter la chose.
Invisible dans l’ombre et pourtant à la vue de tous , je te prend lentement , me pliant vers toi pour pouvoir quémander un baiser alors que je rentre toujours plus profond dans tes chairs puis emporté par l’excitation , je commence à donner des coups de butoirs plus secs , faisant claquer ta peau contre la mienne et te forçant à te tenir au banc pour ne pas perdre l’équilibre.
Nous scrutons régulièrement autour de nous pour éviter un incident et en même temps , nous sommes hyper excités par la situation tant n’importe qui pourrait nous voir ou nous entendre pour peu qu’il le veuille. Mais heureusement pour nous , les voitures n’éclairent pas dans notre direction, les lampes à économie d’énergie ne sont pas assez puissantes pour nous révéler et les bruits de la ville couvre tes gémissements ou mes grognements sourds.
Ton cul m’aspire comme si tu voulais que j’aille toujours plus profondément et la sensation est divine…
Soudain ma main claque sur ta fesse ce qui provoque un petit cri de plaisir de ta part et un regard mêlant plaisir et peur d’être entendue
Mes mains t’empoignent par la taille et t’attirent à moi tandis que je commence à donner des coups de plus en plus rapide et de plus en plus fort et excité par la vision de ta bouche s’entrouvrant à la lumière de la lune , je tente de donner encore plus d’élan et nous entraîne presque au déséquilibre.
L’excitation , le contexte et le plaisir font que je ne peux me retenir et lorsque tu sens ma queue frétiller en toi , je te vois soudainement te caresser pour arriver à l’orgasme en même temps que moi ! J’ai l’impression de pouvoir sentir mon foutre sortir de ma queue en frottant tout au long de l’urètre tant l’excitation est forte et lorsque tu le sens en toi , les contractures de ton cul tout autour de mon vit me rassure sur le fait que tu as eu le temps de jouir toi aussi…
Je donne quelques derniers petits coups en toi , vidant les dernières gouttes tout au fond de ton cul et venant t’embrasser tant bien que mal , pliés tous les deux sur le banc , les jambes tremblantes l’un comme l’autre et prêt à éclater de rire devant notre coup de folie…
Tu te rhabilles tant bien que mal et nous nous rendons à la voiture pour nous poser et nous embrasser de longues minutes avant de pouvoir prendre la route et rentrer en direction de Montpellier.
Nous arrivons enfin à la sortie d’autoroute mais à ta grande surprise nous ne rentrons pas à l’hôtel
“Tu ne rentres pas directement ?”
“Non , la nuit ne fait que commencer et j’ai envie de profiter de toi , de partager un moment dans un endroit discret et calme à l’ambiance feutrée pour y siroter un verre…”
“Tu sais où tu veux aller ?”
“Oui , je connais un bar au centre , il sera parfait , il y a des alcôves où personnes ne nous entendra”
Nous nous garons au polygone et marchons sous un magnifique ciel étoilé sur la comédie pour rejoindre le Papa Doble où je te fais rentrer pour que nous puissions nous installer à une table plutôt qu’en terrasse.
“Dis ? tu l’as fait exprès ?”
“mmmmm ?”
“Un escalier étroit avec un plafond bas , qui tourne … alors que je suis en escarpins et jupe crayon ?”
“…. “
“c’est pire ! tu n’y a même pas pensé alors que c’est toi qui m’a offert tout ça ?…”
“j’avoue… mais je voulais vraiment te faire découvrir ce petit coin de paradis.. désolé ?”
Tu t’appuies sur moi et descend pas à pas , mettant un point d’honneur à ne pas ouvrir ta jupe comme tu l’as pourtant fait tant de fois depuis quelques heures
“ça n’aurait pas été plus simple pied nu ou en ouvrant la jupe ?”
“si , mais elle est trop belle ! je me sens sexy et j’adore ça”
un grand sourire illumine ton visage , tu ne prononces pas ces mots avec une once de second degré , tu es belle , fière et tu dégages un charme incroyable , libérée par cette soirée où nous pouvons enfin laisser libre court à nos envies , sans retenue ,sans personnage à jouer , sans tabou ou mensonge. juste être nous même
Arrivé au niveau du bar , nous allons nous installer dans l’alcôve , profitant du lieu plus calme qu’à l’accoutumé.

La serveuse s’approche pour nous donner les cartes et je ne peux m’empêcher de sourire quand je vois son regard se porter sur toi avec appétit ainsi que son petit mordillement de lèvres quand elle regarde au niveau de ta poitrine et peut y remarquer qu’il reste encore des traces du sperme que tu as étalé dans les arènes.
Nous optons pour des cocktails aux noms sulfureux : caliente et red lips accompagnés de quelques bricoles à manger histoire de ne pas être ivre après seulement un verre.
Nous parlons de la soirée , blotti l’un contre l’autre , ma main posée sur tes hanches ou parcourant ton dos , se glissant parfois sous l’étoffe de ta chemise pour caresser ta peau.
Le temps passe et nos verres sont vides , la serveuse nous propose d’autres cocktails pour continuer la soirée , ce que nous acceptons de bon cœur et encore une fois , je vois dans ses yeux qu’elle sait pertinemment ce que le collier représente et que cela l’amuse ou l’émoustille…
Une fois la commande passée , tu en profites pour lui demander où se trouve les toilettes… mauvaise nouvelle , elles sont à côté de l’entrée et cela veut dire remonter ces escaliers maudits et les redescendre…
Mais , en femme têtue que tu sais être , tu décides de le faire toujours en talon et jupe serrée !
Juste avant de partir , je te retiens et te glisse à l’oreille
“Mademoiselle A , je vais te demander de faire quelque chose pour moi : lorsque tu seras dans les toilettes , je vais te demander d’enlever ton soutien-gorge tout en laissant ta chemise ouverte et lorsque tu seras ici , de me donner ce petit morceau de dentelle.”
Tu me fusilles du regard puis m’embrasse fougueusement
“Très bien Monsieur P , puisque vous me voulez nue sous mes vêtements , je le serai…”
Tu t’absentes et m’amuse énormément du fait que la serveuse se régale visiblement de te voir monter les escaliers tant ses yeux sont aimantés par ton cul moulé de cuir.
A ton retour , je suis subjugué par ton aisance : tu marches , tes seins nus pointant ferrements sous ta chemise blanche presque trop transparente moulée dans cette jupe , attirant tous les regards à commencer par le mien.
Tu t’approches de moi , m’embrasse avant de me mettre ton soutien gorge dans la bouche , et en te redressant , faire exprès de faire passer tes seins contre mon visage. Pendant que tu t’assoies , je range la preuve du challenge réussi dans ma poche , et nous avons beaucoup de mal à résister à l’envie de rire tant la situation est saugrenue. Te sentant un peu mal à l’aise , je te prends dans mes bras et reboutonne un peu ton haut mais très vite tu arrêtes ma main et me dit :
“Non , laisses , Je ne pensais jamais faire ce genre de choses.. mais j’aime , je me sens désirable quand tes yeux sont sur moi , ça me donne l’assurance nécessaire pour m’exposer..”
“Je ne pensais pas que tu en profiterais pour me chauffer autant , il va falloir attendre que je débande avant de ressortir…”
Nous savourons nos cocktails puis nous levons pour aller payer et pendant que le barman m’encaisse , la serveuse s’approche de toi et te murmure à l’oreille “où tu veux , quand tu veux…” avant de te donner une carte de visite avec son numéro perso. Quand je me retourne et que je la vois penchée vers toi , son regard croise le mien et son sourire ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle est hyper excitée elle aussi.
Sans même hésiter un instant , je dit “Peut-être une autre fois , mais pour ce soir , je ne la partagerais sous aucune condition…”
Tu souris mais tes joues sont pivoines , entre l’alcool et les mots doux , ne sachant trop quoi faire ; je te prends par la main avec assurance pour te rappeler que je suis là pour mener la danse pendant encore quelques heures et t’emmènes avec moi pour que nous retournions à la voiture et à l’hôtel.
Nous arrivons enfin à l’hôtel et avant que je ne sorte , tu me murmure d’attendre
“C’est ta voiture ? J’ai vu les plaques étrangères…”
“Oui , pourquoi ? “
Tu t’extrais du siège et vient positionner ta chatte encore trempée au dessus du pommeau de vitesse puis avec tes doigts tu le couvre de ta mouillure en me fixant droit dans les yeux
“Comme ça , à chaque fois que tu conduiras , tu te rappeleras de cette soirée …” et tu reprends ta place , enfile ta jupe et ne prends même pas la peine de la refermer intégralement.
Nous marchons vers la chambre …. Enfin marchons… nous faisons trois pas, nous nous arrêtons pour nous embrasser/caresser/dévorer…et essayons tant bien que mal de ne pas finir nus dans les couloirs…
Arrivé dans la chambre , nous nous déshabillons mutuellement , dévorant la peau de l’autre entre deux baisers.
Nous allons prendre une rapide douche pour nous débarrasser de la sueur et de la poussière sans jamais parvenir à cesser nos baisers et nos caresses.
Nous ne prenons même pas le temps de nous sécher et tu m’entraînes jusqu’au lit où nous plongeons sans même enlever les affaires que nous avions laissées avant de partir.
Comme annoncé dans la voiture , je commence alors à dévorer ton corps intégralement : chaque parcelle de peau est embrassée , léchée, goûtée ,caressée et comme j’ai pu te l’annoncer dans la voiture , je me positionne au dessus de ton clito avant de commencer ma longue torture buccale : mes mains commencent par relever un peu tes jambes pour les poser sur mon dos , afin que tu puisses plus largement écarter les cuisses et relever ton bassin. Ensuite viendra la pénétration , d’abord un doigt pour lubrifier ton sexe desseché par la douche , puis deux pour te faire gémir , puis trois pour frotter plus fortement l’interieur de ton vagin et stimuler les zones hypersensibles qui entraine des décharges électriques à chacun de mes coups de langues ou que mon autre main pince un téton , le faisant rouler et pointer tellement fort que tu ne resistes pas à m’encourager d’une voix bien plus rauque que d’habitude “…encore… ENCORE……”.
Ta main droite se place sur ma tête et tes doigts se glissent dans mes cheveux se crispant lorsque ma caresse est trop intense , me caressant lorsque je réduit l’amplitude du mouvement.
Je glisse un 4e doigt et amplifie le mouvement provoquant des sons toujours plus gutturaux de ta part , agrémentés de “oh oui… oh t’es dessus… t’arrêtes pas….”
Ton corps est tendu comme la corde d’un arc et chaque caresse ou pincement en devient presque trop intense , je décide de porter le coup de grâce et jouant conjointement de mes deux mains et de ma langue , me redressant un peu pour pouvoir relever ton bassin avec tes jambes toujours sur mon dos. les mouvements sont
rapides et précis et tu ne parviens plus à te retenir : dans un dernier râle , tu te crispe comme jamais dans mes cheveux jusqu’à cet orgasme libérateur.
Tu retombes sur le lit , en sueur, haletante , inondée de mouille , la tête qui tourne et le corps sans forces…
Je viens me blottir contre toi , caressant tes cheveux et t’embrassant avec une infinie tendresse et nous restons ainsi de longues minutes pleines de douceurs qui contrastent avec les ébats passionnels qui se sont enchaînés depuis déjà plus d’une demi journée.
Au bout d’un moment , tu retrouves un peu de tonus et tu me grimpes dessus , me couvrant à ton tour de baisers doux , de coups de langue érotiques et de petits mordillements sensuels. tu descends juqu’à mon sexe et te moque de son aspect plus mou que ce que tu as connu jusqu’à présent…
“Bah alors? On y arrive plus papy ? T’as besoin de viagra ?”
“mais t’as pas bientôt fini ? nymphomane !”
“tick tock … 24 heures mon cher Monsieur P et si le programme jusqu’ici a été parfait , je n’ose imaginer que tu vas me laisser sur ma faim…”
“Mais ma chère soumise… il ne tient qu’à toi et en particulier ta bouche de me redonner force et vigueur….”
Je n’avais pas fini ma phrase que tu étais déjà en train de lecher mon sexe , descendant jusqu’à mes bourses , puis à ton tour , me relevant le bassin pour atteindre mon cul et y glisser ta langue taquine tandis que ta main s’occupe de ma queue.
J’écarte à mon tour les jambes , m’offrant complètement à toi et quand ma verge est de nouveau fièrement tendue , tu viens la prendre entièrement dans ta bouche telle une avaleuse de sabre sexy , jouant de ta langue lorsque tu aperçois ma tête s’enfoncer dans le matelas et mes mains se crisper sur la couette.
Je t’invite à remonter vers moi et empoignant tes fesses les écartes pour que tu guides ma queue en toi
“de quoi as-tu envie toi ? mon sexe gourmand ou de venir encore dans mon cul ?”
“T’en fais pas pour ton cul , il m’aura bien assez tôt en lui , viens donc onduler du bassin ma belle ondine…”
et d’un glissement de doigts , je me retrouve tout au fond de ta chatte , me laissant baiser à ton rythme et te laissant varier les inclinaisons pour que mon gland puisse bien frotter sur les tissus toujours électrisés de ton vagin. Je ferme les yeux et peux ressentir les muscles se contracter autour de moi , amplifiant la sensation de va et vient jusqu’au nirvana. tu te penches sur moi et viens déposer un tendre baiser tout en continuant tes mouvements et tout n’est que de douceur : nos langues enroulées , nos mains accrochées , nos bassins soudés et nos jambes emmêlées.
Je me redresse un peu et murmure à ton oreille “il y a quelque chose dont j’ai terriblement envie avec toi , là , maintenant…”
Je me redresse et sors du lit pour revenir avec un gode et du lubrifiant
“c’est tout de suite moins romantique Monsieur P … mais pour autant nous en avons assez parlé pour que je ne sache ce qui m’attend….. et j’en salive d’avance”
Je te fais te mettre à quatre pattes puis me positionne derrière toi avant de lubrifier très généreusement ton anus offert à mes doigts gourmands. D’abord un , puis deux mais contrairement à ce que je m’étais amusé à faire avec ton sexe , je n’en ajoute pas plus , me contentant au contraire de bien dilater l’objet de toutes mes attentions.
Je lubrifie ensuite généreusement le gode et commence à l’enfoncer dans ta chatte offerte.
“Caresses toi !”
Mes mots claquent plus fort que mes mains sur tes fesses dans le parc et tu t’executes sans dire un mot.
“Mieux que ça !”
Tu écartes plus les jambes et amplifie le mouvement de tes doigts , t’occupant toujours de ton clito gonflé par l’excitation mais continuant le geste jusqu’aux grandes lèvres de ton vagin pour que la sensation se propage plus encore dans ton bas ventre.
Je rentre le gode jusqu’à la garde puis je te demande de ne plus bouger quelques instants , je viens alors placer mon gland à l’entrée de ton vagin et contournant le gode je parviens à rentrer délicatement en toi. Ton sexe est rempli par ces deux queues si dures et lorsque je commence à effectuer des mouvements du bassin , je te vois t’effronder pour poser le visage sur la couette , les yeux fermés et la bouche ouverte , laissant des échappers des murmures de jouissance ne laissant aucun doute sur les sensations que tu peux ressentir. J’accélère mes coups de butoir jusqu’à te voir à ton tour t’aggriper au lit , résistant pour ne pas hurler puis n’y tenant plus tu attrapes tant bien que mal un coussin et hurle ton plaisir étouffée avant de relever la tête et de me dire toute essoufflée
“oh mon dieu , je n’aurais jamais imaginé que ça serait aussi bon… j’ai eu peur quelques secondes mais immédiatement les sensations ont pris le dessus… surtout ne t’arrête pas….”
J’acquiesce d’un sourire et continue ma douce besogne , te baisant toujours plus profondément et maintenant fermement le gode en toi et déclenchant en toi les sensations les plus folles et les gemissements les plus erotiques qui soit… et forcement.. cela me fait encore plus bander, ce qui te stimule toujours plus et déclenche une serie d’orgasme jusqu’à un point culminant où tes jambes se mettent à trembler et tu es obligée de t’allonger , prise de soubresaut et gemissant entre deux mordillement de ta main…
Je devrais être satisfait mais au contraire je m’inquiète et viens m’enquérir de tes sensations alors que je te vois pleurer sous le stress que nous avons infligé à ton corps. Passant délicatement ma main dans tes cheveux , je m’allonge et tes côtés et viens essuyer tes joues en douceur.
“tout va bien ? t’as eu mal ? un mauvais mouvement ?”
“oh non , non , non… je n’avais jamais jouis aussi fort , j’ai cru que mon coeur allait exploser mais c’était tellement bon que je n’aurais pas pu m’arrêter avant ça… c’était .. divin.. incroyable… si intense.. c’était exactement ce que tu m’avais promis… merci mon Maître…tu n’as plus à douter… et moi non plus….”
Ton corps étant toujours pris de spasme et ton souffle reprenant petit à petit son rythme , je te vire tout ce qui traîne sur le lit sans ménagement et te couvre avec la couette puis m’allongeant à tes côtés , je t’embrasse tendrement en savourant l’instant , jouant délicatement avec tes cheveux jusqu’à ce que nous tombions de sommeil l’un comme l’autre…
Ce n’est que beaucoup plus tard dans la nuit que tu te réveilles et que ton corps encore enflammé par la journée décide que nous aurons bien assez le temps de dormir quand nous serons morts… te faufilant hors de la couette , tu viens te blottir contre moi et profitant du fait que je ne me réveille pas immédiatement , tu approches tes lèvres de ma queue et commence à la lecher et la sucer.
Fière de toi , tu t’enhardis et passe tes mains sous mes bourses pour pouvoir mieux me prendre en bouche et savoure de la sentir se remplir de sang , frétiller et grossir , caresses après caresses jusqu’à remplir ta bouche.
“mmmm … mais qu’est ce que tu fais ???”
“J’avais encore envie de toi… tu m’a fais jouir oui , mais finalement , la réciproque n’y est pas tant que ça… j’avais envie de ta queue dans ma bouche et j’ai envie de ton sperme tout au fond de ma gorge…”
“tu me connais , ce n’est pas moi qui vait refuser ce genre d’invitation mais il est hors de question que je ne m’amuse pas non plus…”
je t’invite à venir sur moi les jambes écartées et nous commençons un soixante neuf divin : la succion délicate mais ferme de ta bouche fait que ma queue est encore plus irriguée de sang et gonfle encore si c’était possible. En réponse à cette torture j’applique la même punition à ton clito , le faisant rouler sous ma langue puis en l’aspirant avec mes levres collées voir en le mordillant délicatement du bout des dents comme une framboise trop mure.
Tu salives volontairement sur mon sexe ce qui décuple la caresse de levres sur ma peau , ta main accompagne dorénavant ta bouche et ta langue s’enroulant comme un serpent affamé.
De mon côté j’ai saisi tes fesses pour les écarter et lèche de plus belle ton vagin pour remonter jusqu’à ton petit cul offert et lorsqu’il est lui aussi lubrifié , j’y glisse immédiatement deux doigts quand ma bouche repart à l’assaut de ton bourgeon. La caresse au lieu de te désarçonner te motive et en represaille tu décides de me sortir de ta bouche et de te servir te ta langue en faisant frotter les parties hyper sensibles sous mon gland et sur tout le contour du frein avant de continuer le long de la hampe pour arriver jusqu’à la base. Puis de remonter et recommencer , encore et encore , au point que je dois me retenir pour ne pas gicler immédiatement.
Cet acte odieux ne pouvant rester sans réponse, je décide d’utiliser ma main libre et de venir titiller le bout de tes seins encore sensibilisés à l’extrême par tes nombreux orgasmes. je t’entends gémir entre deux coups de langues mais tu continues , décidée à gagner cette guerre du plaisir …
Et lorsque tu sens mon scrotum se contracter , tu sais que tu approches de ton objectif et tu décides de me reprendre entiermement en bouche… Mon corps s’arque , mes jambes se plient , les mouvements de mes mains et de ma langue sont chaotiques et ne pouvant plus tenir, j’éjacule sans retenue , tout au fond de ta gorge…ce qui déclenche chez toi un dernier orgasme leger mais vu comme ton cul enserre mes doigts , je le ressens et cela me permet d’apprécier encore plus l’instant…
Tu suces et leches chaque millimètre de ma verge , te délectant de mon foutre et toute contente d’avoir réussi à me faire jouir avec ta bouche aussi fort.
“T’as aimé ?” demandes tu innocemment ?
“Euh ? je crois que ça s’est vu et je pense en prime que les chambres autour aussi sont au courant…”
Tu me rejoins et nous nous embrassons , toi avec le goût de mon sperme sur la langue , moi avec ta cyprine sur les lèvres et assez vite nous nous rendormons , aussi satisfait l’un que l’autre de cet intermède festif…
Nous avons laissé volontairement les rideaux grands ouverts , pour que le soleil nous tire du sommeil et que nous puissions profiter de ces dernières heures avant que je ne doive te rendre à ta vraie vie.
Nous nous enlaçons dans le lit , enchaînant câlins , baisers et caresses , parfois nous retrouvons un peu d’énergie pour jouer avec l’autre mais rien d’aussi intense que la nuit que nous avons connu.
Couché sur le dos , tu reviens te positionner sur moi , chevauchant ma queue tout en douceur et en sensualité, te redressant pour être perpendiculaire et t’appuyant sur mes mains pour garder ton équilibre. Tu ondules du bassin en faisant bien frotter mon gland à l’intérieur de ton fourreau en sachant pertinemment que je lutte depuis le début pour ne pas jouir de suite et que je suis à bout de force
“Monsieur P… je crois que je suis tombé sous votre charme , de votre queue et de votre capacité à me faire sentir être une autre…”
“C’est une magnifique déclaration Mademoiselle A , j’espère pouvoir lire votre avis sur ces pas-encore-complétement-écoulées-vingt-quatre-heures , votre ressenti et surtout si j’ai pu vous satisfaire pleinement”
“Idiot… “
“Mademoiselle A , tu n’imagines pas à quel point tu comptes à mes yeux même si je sais le prix de cette relation unique…”
tu t’écroules sur moi et m’embrasses fougueusement juste avant que je ne jouisse une dernière fois en toi .
Le temps de ramasser nos affaires , essayer de nous habiller en résistant à chaque fois à l’envie de tout enlever une dernière fois , de juste sentir la chaleur du corps de l’autre , de pouvoir garder cette bulle encore quelques secondes
Et lorsqu’il n’est plus possible de retarder notre départ , je t’emmène à la voiture et jusqu’à la gare , nous ne prononcerons aucun mot , juste nos mains serrées l’une dans l’autre tentant de se retenir .
je t’accompagne sur le quai et te laisse monter dans le train , nous nous cherchons du regard et lorsqu’enfin je te trouve , tu déposes sur la glace un baiser amoureux qui laisse une trace de rouge à lèvre intense.
Le départ du train fini de faire éclater cette bulle que nous nous sommes efforcés de créer mais à peine s’est il éloigné que je reçois un message de ta part
“J’espère que la prochaine fois , tu seras capable de me baiser aussi le matin…”