Le lendemain matin, le soleil perce à travers la petite fenêtre de la cabane, et je m’éveille, mes cheveux roux étalés sur les peaux de bêtes, le parfum des encens encore léger dans l’air. Je touche mon cou – le collier est brisé, ses fragments scintillant sur le sol, mais je sens encore son énergie vibrer en moi. Je suis donc Feylin, et je l’ai choisi. Mes yeux dorés brillent, mes sens toujours aussi aiguisés, et je regarde P, endormi à mes côtés, son torse marqué de mes griffes, son souffle calme. Je me blottis contre lui, ronronnant, mon corps pressé contre le sien, et je souris, un éclat sauvage dans le regard et je ne voudrais être nulle part ailleurs. La rivière murmure au loin, et je sais que cette vie, cette sauvagerie, ce plaisir infini, est la mienne, pour toujours.
La cabane de Kaelthar semble toujours vibrer toujours d’une énergie ancienne et beigne encore des odeurs d’encens mais surtout de nos ébats. Le vieux Feylin rentre après s’être assuré qu’il ne nous dérangeait pas et nous fixe, ses yeux dorés plissés comme ceux d’un chat prêt à bondir. Je me tiens près de P, ma peau encore frémissante du rituel, mes cheveux roux collant à mes épaules. Le collier brisé gît sur une table, ses fragments de pierre de lune scintillant comme des éclats de nuit. Kaelthar s’assoit près du collier et de sa voix râpeuse brise le silence. « C’est la première fois que je vois cela, ce collier ne se brise pas, même avec la force d’un Feylin pur » puis après avoir pris quelques pierres de lune dans sa main, il tourne alors son regard vers moi et continue « Cela ne peut signifier qu’une chose : le collier a reconnu TA volonté et a vibré avec toi ». Kaelthar se lève et s’approche pour te montrer quelque chose « Regarde, vois-tu le filet qui s’est dessiné autour de son cou ? je n’avais jamais vu ça avant ! ? Elle a été marquée par le collier, c’est sans doute la pureté du sang du prince Feylin qui a fait réagir les pierres de lune ! »
Tu sembles surpris par la marque à peine visible « Est ce dangereux ?” demandes tu ? » « Dangereux ? Non , je ne pense pas ,si le collier avait voulu la tuer, il ne se serait pas brisé. Elle a mis sa vie en jeu et la Lune l’a reconnue comme une Feylin. Elle n’est plus en danger mais tu vas devoir lui apprendre nos usages » te répondit Kaelthar avant d’ajouter « J’ai besoin que vous restiez ici aujourd’hui , nous avons un dernier rituel à faire et nous devons attendre la nuit. Le rituel de cette nuit a été intense, reposez-vous , profitez de mon humble gîte le temps que je fasse les recherches ».
Enfin , se tournant vers moi , Kaelthar me murmure « La pureté du sang de P, prince Feylin, a scellé ton destin. Le collier n’est pas détruit – il s’est adapté à toi. Tu es marquée par la Lune » Mon cœur s’emballe, une chaleur sauvage pulsant dans mes veines. Marquée. Le mot résonne, à la fois promesse et défi.
Mon pouls s’accélère, ma peau frémissant sous la chaleur de ton regard, ton odeur animale saturant l’air, me rendant folle de désir. Même après le rituel de cette nuit, ce feu en moi ne s’éteint pas, chaque regard que je pose sur toi ravivant cette faim sauvage. Tu m’enlaces, lentement mais fermement, et je tremble sous tes mains, un mélange de plaisir et de sensations décuplées, mon corps Feylin encore étranger à cette intensité brute. « Viens avec moi, puisqu’on doit rester là, autant en profiter un peu. » dis-tu avec un entrain qui casse l’ambiance trop sérieuse, et je ris, un éclat clair, laissant ta main m’entraîner dehors, où le soleil nous enveloppe de sa chaleur torride dès que nous passons la porte.
« C’est le premier jour de ta vie de Feylin, nous vivons la nuit, oui, mais nous savons savourer le jour aussi ! » lances-tu, et avant que je puisse répondre, tes lèvres s’écrasent sur les miennes, un baiser fougueux, ton corps me serrant fort, un ronronnement échappant à ta gorge, trahissant l’angoisse du rituel. Je feule, mes bras s’enroulant autour de ton cou, ma langue dansant avec la tienne, et nous nous dirigeons vers la rivière, nus, libres, nos corps attirés comme des aimants. Cette fois, pas d’hésitation : tu plonges avec moi dans l’eau fraîche, et je ris, jouant, t’embrassant, caressant ta peau, nos sens Feylin savourant chaque détail – la caresse de l’eau, la chaleur de nos corps, le courant effleurant ma chatte. Lorsque la voiture du chaman s’éloigne, un regard suffit, et la rivière devient le théâtre de nos ébats.
Ma main glisse sur ta queue, dure malgré l’eau froide, et je souris, taquine. « Je croyais que l’eau froide avait l’effet inverse… » murmuré-je, et tu ris, tes yeux dorés pétillant. « À vue d’œil, je dirais que pour tes seins, c’est l’effet escompté. » rétorques-tu, avant de me soulever, collant mon bassin contre le tien, mes jambes s’enroulant autour de ta taille, ta bouche s’attaquant à mes tétons, tendus par le froid et le feu qui brûle en moi. Je gémis, mes griffes frôlant ton dos, et je relève la tête, mes lèvres aimantées aux tiennes, nos langues se frôlant d’abord délicatement, puis s’enflammant dans un duel incendiaire. Ta queue se raidit, glissant jusqu’à mon sillon, et tu me pénètres d’un coup, sans attendre, ma chatte à peine mouillée mais contractée d’excitation.
Je m’arrête un instant, haletante, et murmure : « Mmm, je n’en pouvais plus de t’attendre… ma chatte était tellement contractée par l’excitation que j’ai pu sentir chaque centimètre de ta queue… » Tes mains empoignent mes fesses, fermes, et tu me guides dans un rapport bestial, puissant, nos baisers ponctuant nos râles, nos ongles plantés dans la chair – mes fesses, ton dos – luttant pour retenir nos griffes. Mes sens Feylin explosent : l’eau caressant ma peau, le flux de mon sang, la chaleur incandescente de ma chatte, la tension de mes seins, tes dents raclant mon oreille, ta queue pulsant en moi. Le plaisir monte, volcanique, et tes doigts crispent mes fesses, ta voix murmurant au creux de mon oreille : « Jouis… jouis pour moi… là… maintenant… » Dans la seconde, l’orgasme me déchire, assourdissant : mon corps se tend, mon cœur s’accélère, mes bras et jambes se crispent, mon dos s’arque, et un cri sauvage déchire le ciel, ma chatte avalant ta queue, serrant, vibrant de vagues de chaleur, mon bassin cherchant à t’engloutir plus profond. Épuisée, je t’embrasse tendrement, mes ongles laissant place à des caresses, mais mes yeux hurlent : ENCORE !
Nous sortons de l’eau, nous allongeant sur l’herbe, le soleil peinant à rivaliser avec la chaleur de nos étreintes. Feline, insouciante, je grimpe sur toi, déposant des baisers sur tes lèvres, ton torse, ton ventre, descendant lentement jusqu’à ton entrejambe, où j’engloutis ta queue gonflée. Je suce fort, sentant ton sang affluer, ma main caressant tes bourses, l’autre accompagnant mes lèvres qui glissent le long de ta verge. Ma langue, joueuse, frotte les zones sensibles sous ton gland, puis je prends tes bourses entre mes lèvres, les aspirant, les tendant au maximum, alternant entre coups de langue et légère douleur, te faisant feuler. Je remonte, enduisant ta queue de salive, la lubrifiant pour que mes lèvres et ma main glissent comme de la soie, puis j’enserre ta verge entre mes seins gonflés, chauds, te branlant, mes yeux dorés rivés aux tiens, mon gland parfois dépassant, accueilli par un coup de langue avant de replonger dans ma poitrine.
« Oh putain, c’est trop bon… ne t’arrête pas… » souffles-tu, et je souris, mes mains pressant mes seins plus fort, enveloppant ta queue, la chaleur de mon corps et la vision de mes obus soyeux t’entraînant vers l’extase. Ta voix claque soudain : « Viens, j’ai envie de ton cul ! » Mon corps vibre, ma libido en feu, et je t’embrasse fougueusement, ma main guidant ta queue vers mon anus déjà dilaté, tes mains écartant mes fesses sans douceur. À peine placée à l’entrée de mon antre brûlant, ta bite s’immisce, et je t’accompagne, mon bassin s’enfonçant pour te prendre profondément. Tu relèves tes jambes, t’appuyant au sol, et donnes de grands coups de queue, tes bourses fouettant ma peau, mes mains posées sur ton torse, mes griffes se crispant inconsciemment, laissant ma part animale s’exprimer. Nos langues dansent, et entre deux feulements, je crie mon plaisir, mes sensations exacerbés par la chaleur du soleil, l’odeur de ma cyprine s’écoulant sur ta peau, nos parfums se mêlant.
Plus tes coups sont forts, plus mes griffes labourent ton torse, mon chaudron brûlant se contractant, amplifiant tes va-et-vient, et je te sens devenir fou, accélérant encore. Ma bouche s’ouvre, mes cris résonnent, et tes yeux brillent de fierté, de domination. « Tu n’es jamais aussi belle que quand tu jouis… » souffles-tu entre deux coups, et je gémis : « Jamais aussi belle que quand tu me fais jouir, mon prince… » Mes sens s’embrasent, le soleil brûlant ma peau, ma main caressant frénétiquement mon clito, et l’orgasme explose, rauque, bestial, mes griffes se plantant dans ton torse. Ton cri suit, ton foutre inondant mon cul tremblant, déclenchant un second orgasme, plus fort, et je m’écroule sur toi, ivre, ton sperme s’écoulant de mon cul serré, ton souffle s’apaisant sous ma joue.
Soudain, je sursaute, voyant ton torse lacéré, sanguinolent. « Oh mon dieu, c’est moi qui ai fait ça ??? » crié-je, paniquée, et tu ris, un clin d’œil rassurant. « Oui, c’est toi. Mais tu sais quoi ? C’est aussi ça être Feylin ! J’aurais cicatrisé dans quelques minutes, et il n’y aura plus de traces dans une heure… tu pourras recommencer alors. » dis-tu, avant d’ajouter : « Tu m’as appelé mon prince… cela m’a surpris… » Je murmure, instinctive : « Tout mon être vibre pour toi… je ne peux même plus concevoir les choses autrement… » et je lèche tes plaies, agissant par pur instinct, ma langue apaisant le sang.
Le reste de l’après-midi est plus calme, mais notre désir ne s’éteint pas. Dans la cabane, nous jouons de nos langues et doigts, buvant le plaisir l’un de l’autre comme un nectar divin, récompense de notre dévotion. Lorsque Kaelthar revient, le soleil est couché, et nous observons la lune se refléter dans la rivière, enlacés, nus, libres, nos corps vibrant encore de cette journée.
« Nous avons un dernier rituel à mener, venez avec moi dans la maison » nous dit le vieux chaman, un sourire dans la voix et les yeux brillant d’un doré presque surnaturel. Nous le suivons dans la maison et allons dans la pièce qu’il a dédié à la lune, où le toit est entièrement fait de verre et où les rayons de l’astre blanc illumine un autel aux signes cabalistiques brillant d’énergie. Kaelthar pose alors les pierres du collier brisé sur l’autel et entonne un chant étrange, mélange de mots d’une langue inconnue mais que paradoxalement j’arrive à ressentir dans les moindres détails, les vibrations de sa langue, de sa gorge , les sons .. Ce qui me semble incompréhensible, je le ressens au fond de moi comme une sorte de prière à la lune. P s’approche de moi , voyant ma surprise , mes yeux écarquillés et tournant la tête à chaque bruit provoqué par le rituel. Il se place dans mon dos et m’enlace , sa simple présence suffit à me rassurer et lorsque je ferme les yeux pour m’appuyer sur son torse , il commence alors à traduire l’incantation du chaman.
« Oh toi Krysera , la Reine Voilée, laisse ta lumière remplir cet autel de ta magie et redonne vie à ton lien de vie , ce collier brisé par ta protégée. Tu as reconnu A comme l’une des tiennes , tu l’as marquée comme ton élue , elle doit porter tes pierres comme la reine Feylin qu’elle est vouée à devenir… »
Mes yeux s’ouvrent d’un coup et je me retourne vers toi et sans même que j’ai eu le temps de prononcer le moindre mot, ton doigt se pose délicatement sur ma bouche et tu m’embrasses, tes bras musclés serrés dans mon dos. Ta bouche se place vers mon oreille, et dans un son à peine perceptible, tu me susurres
« Oui, tu as bien entendu, tu seras ma reine car même si j’aurais préféré ne pas porter ce titre , je serais roi d’ici quelques semaines… Je t’ai choisi dès que j’ai croisé ton regard , j’ai pu sentir toute cette dualité en toi , cette âme sauvage et forte cachée derrière une façade où tu te contentes d’être humaine. Je t’ai mordue par instinct, sans doute l’œuvre de Krysera… notre déesse est très douée pour ce genre de chose … de même qu’elle peut créer des marées , elle peut influer sur les Feylins, les guider pour accomplir sa volonté. Et elle t’a choisi… tu n’es pas que ma reine , ma soumise ou ma sensuelle partenaire. Dorénavant , tu es aussi devenue son avatar pour mon peuple… »
Je me sens tétanisée, mon esprit emporté dans un maelstrom d’émotions et lorsque tu ressens un peu de panique dans mon regard , tu me prends immédiatement la main et ta chaleur me rassure autant que ton regard protecteur. J’enfonce alors mon visage dans ton torse , respirant ton parfum , et me blottissant dans tes bras pour retrouver la sérénité qui ma quitté quelques instants quand soudain la pièce est inondée de lumière argentée et le collier brisé se reforme sur l’autel , chacune des neufs pierres reprenant sa place avant de briller intensément et de se transformer.
Kaelthar miaule et s’incline devant l’autel , la lumière de la déesse quittant la pièce pour retrouver sa place dans le ciel.
P s’approche de l’autel où se trouve le collier désormais réparé : ses pointes disparues, sa surface lisse brillant d’un violet argenté, comme une étoile captive.
« Elle est ta soumise, P, fais en ta reine » murmure le chaman, un sourire en coin révélant ses canines usées.
Je m’approche comme hypnotisé par le collier et le saisis sans hésitation , mes griffes frôlant la pierre chaude. Puis je me déplace d’un pas assuré et m’approche de P , lui remettant le collier et dans un sourire incontrôlable je lui dit « Je t’ai choisi comme maitre , comme alpha , comme dominant fais de moi ta soumise et leur reine… ». Tes yeux dorés me défient, mais il y a une lueur d’abandon, une confiance qui me fait grogner de désir.

Tes mains passent autour de mon cou et le collier trouve sa place , s’ajustant parfaitement à ma peau, vibrant légèrement et son éclat violet argenté illuminant ma gorge.
« Alors sois mienne , dans ton corps comme dans ton âme » me murmure t’il d’une voix basse, possessive. Touchant le collier refermé autour de mon cou , je me mets à ronronner, un son grave qui fait vibrer l’air , animale , libre et heureuse.
Le collier pulse, comme s’il reconnaissait notre lien, et je sens mon sang bouillir , je me jette sur P et l’embrasse passionnément , sans reserve ni limite , une reine feylin soumise mais par choix, indomptable , belle , fière et sexy…
La lumière de Krysera, la Reine Voilée, s’éteint à peine sur la ferme de Kaelthar, le collier violet argenté vibrant contre ma gorge, ses neuf pierres pulsant comme des étoiles captives. A la fois reine et soumise, et ton regard brûle sur moi, tes yeux dorés luisant d’une faim qui fait trembler ma peau. À peine le collier s’est-il ajusté, scintillant sous la marque lunaire de mon cou, que tu me tires vers toi, ta main ferme sur ma taille. « On rentre, » souffles-tu, ta voix un feulement rauque, et je ronronne, mes griffes frôlant ton poignet, un sourire sauvage aux lèvres. Kaelthar nous observe, un éclat amusé dans ses yeux usés, mais nous sommes déjà dehors, l’aube subjugant mes courbes sous mon cuir noir, la ville gronde au loin comme une proie à nos pieds. Ton odeur est un mélange de douceur, le musc de ta sueur,le parfum encore imprégné dans ta chemise en lin,le désir qui sature l’air, et je sens ma chatte pulser, trempée, prête à t’accueillir à nouveau.
Dans la voiture, je ne tiens plus. Je me tortille sur le siège, mes cuisses serrées, le cuir de mon pantalon crissant, et je te lance un regard, mes yeux dorés pétillant. « T’as l’air tendu, P, » murmuré-je, ma voix un ronron taquin, et ma main glisse sur ta cuisse, mes ongles griffant ton jean, frôlant la bosse dure de ta queue. Tu feules, un son bas, animal, et tes griffes crispent le volant. « Continue comme ça, et je te prends sur le capot, » murmures-tu, un sourire en coin, et je ris, un éclat clair qui fait vibrer le collier. « Promesse ou menace ? » réponds-je, ma main serrant juste assez pour te faire râler et je suis surprise quand tu écartes les jambes, m’incitant à continuer… La ville défile, néons flous, mais c’est ton pouls, ta chaleur, qui me rendent folle, et quand nous atteignons l’immeuble, tu m’arraches presque du siège, tes lèvres frôlant ma nuque, me rappelant immédiatement le moment où tu m’as transformée et cela décuple mon excitation.
L’escalier menant à l’entrée du batiment est un brasier : ton corps presse le mien d’une main sur mon bas ventre pour que je sente ta queue dure comme la pierre entre me fesses, je feule de desir , te plaquant contre la rambarde en ondulant mon cul affamé contre toi, mordillant mes lèvres sebsuellement et posant mes mains sous la tienne pour que tu sentes mes doigts glisser sur le cuir jusqu’à mon entrejambe , t’entrainant avec moi dans cet instant torride.. « A, bordel… Comment veux-tu veux que j’ouvre la porte si tu me rends fou comme ça.. on va finir au poste pour exhibitionnisme…» souffles-tu, mais ta main rejoint la mienne et appuie fort contre mon clitoris, alors que l’autre, toute griffe dehors , arrache mon top, révélant mes seins tendus, mes tétons durcis par l’air frais. Je ris, sauvage, et me retourne pour tirer sur ta chemise, les boutons volant, mes griffes traçant des lignes rouges sur ton torse. « T’es trop habillé, » te dis je sans l’once d’une hésitation dans la voix, et tu rugis doucement, tes mains glissant sur mon cul, moulé par le cuir. Tout n’est qu’invitation à la luxure : l’odeur de ta sueur, le cliquetis du collier vibrant, la chaleur de Krysera nous couvrant encore de sa lumière , sans doute ravie du spectacle de son elue, amplifiant chaque frôlement, chaque morsure.
Nous parvenons enfin à entrer et dans l’ascenseur, la cage s’embrase. Tu me plaques contre la paroi, mes jambes s’enroulent autour de ta taille, et je gémis, sentant ta queue dure presser contre mon cuir. « Enleve moi ça… je n’en peux plus … » grondé-je, impatiente, et mes griffes s’attaquent aux boutons de mon pantalon, le cuir s’écartant avec un craquement. Tu feules, tes doigts plongeant sous mon string noir, trempé, écartant les lèvres de ma chatte brûlante, glissant un doigt, puis deux, mes parois se contractant autour de toi. « Putain, t’es trempée, » murmures-tu, ta voix rauque, et je ris, mes lèvres sur ton oreille, ma langue frôlant le lobe. « Et toi, t’es dur comme j’aime que tu le sois… » soufflé-je, ma main libérant ta queue, caressant le gland humide, te faisant cambrer. Le collier pulse, violet argenté, comme si Krysera ronronnait au rythme de tes doigts dans ma chatte innondée.
L’ascenseur tinte, s’ouvrant sur un voisin, un humain grisonnant, figé, les yeux écarquillés devant nos corps en sueur, ton sexe pressé contre mon ventre, mes seins nus luisant sous les néons. Je ris, un éclat libre, sauvage, et tu m’imites, nos regards complices, scintillant d’or. « Oups, mauvais timing, » lancé-je, espiègle, et tu m’entraînes dans le couloir, tes mains sur mon cul, le cuir entrouvert , ma main masquant ta queue et résistant difficilement à l’envie de te branler. « Spectacle gratuit, vieux, » cries-tu, et je ris encore, mes griffes frôlant ta nuque, marquant ta peau. La porte claque, et je me jette sur toi, mes lèvres dévorant ta gorge, ma voix un feulement. « Maintenant, P… » ordonné-je, et tu souris, me soulevant, mes jambes autour de toi. « Pas si vite, ma reine, » souffles-tu, tes yeux dans les miens. « On va baiser et marquer cet endroit jusqu’à ce que Krysera entende tes hurlements et que la ville sache… . » Le collier vibre, la ville pulse dehors, mais ici, nous sommes des Feylins, prêts à tout dévorer.
Mes sens s’éveillent, aiguisés comme des lames, et l’appartement s’ouvre devant moi comme une tanière vierge, un territoire à marquer de nos odeurs, de nos griffes, de notre plaisir. La lumière de Krysera, la Reine Voilée, filtre à travers une grande baie vitrée, ses rayons argentés dansant sur les murs gris anthracite, illuminant le collier violet argenté à mon cou, ses neuf pierres pulsant comme des cœurs d’étoiles. Je hume l’air, mêlée d’autres parfums, plus anciens, des traces de nuits sauvages qui font frémir ma jalousie féline, un ronronnement possessif montant dans ma gorge.
Le salon s’étend devant nous, dominé par un canapé en velours noir, ses coussins moelleux froissés, marqués par ton odeur et celle d’autres, des amantes d’antan dont les empreintes olfactives me hérissent. Je glisse une griffe sur le tissu, sentant les fibres s’accrocher, et un sourire taquin étire mes lèvres. « Pas la première à faire ronronner le fauve, hein, P ? » murmurai-je, ma voix un feulement provocant, et je me tourne vers toi, mes hanches roulant, mes seins nus luisant sous les néons, mes tétons durcis par l’air frais et la chaleur de ton regard. Tu ris, un son rauque, profond, et t’approches, tes yeux dorés scintillant comme ceux d’un prédateur. « Mais la seule qui m’a marqué, ma reine » souffles-tu d’un air volontairement faux… Tes lèvres frôlant les miennes, et je feule, t’embrassant à pleine bouche, ma langue dansant avec la tienne dans un duel qui sent le feu et le sang. Mes griffes labourent ton torse, strié de mes marques rouges, et ton souffle chaud et fort contre ma gorge quand tes dents ne sont pas en train de frotter ma peau déjà electrique me rend folle tout comme tes mains agrippant mon cul, le cuir crissant sous tes doigts, le string glissant contre ma peau trempée. Je m’écarte, mes bottes claquant sur le parquet, chaque craquement amplifié par mes sens Feylin, comme un battement de cœur puis je prends un malin plaisir à les oter sans jamais cesser de te fixer et de t’allumer en faisant glisser mes mains sur le cuir du pantalon en partant de mes hanches , glissant jusqu’à mon sexe et descendant le long de mes cuisses jusqu’au fourreau pour en extraire mes jambes.
Les murs anthracite portent des griffures légères, invisibles pour un humain, mais criantes pour moi : des traces d’ébats, de luttes passionnées, de corps qui se sont offerts et affrontés. Je passe une griffe sur une entaille, sentant la rugosité du plâtre, et un rire sauvage m’échappe. « T’as laissé des souvenirs, » taquiné-je, mordillant ma lèvre, et tu rugis doucement, te collant à mon dos, tes lèvres sur ma nuque, goûtant la sueur salée sous le collier. « On va en graver d’autres, A, » murmures-tu de ta voix brûlante, et je ronronne, me frottant contre toi, mon cul pressant ta queue dure à travers ton jean grand ouvert. Le collier pulse et je peux sentir Krysera elle-même savourer notre étreinte , amplifiant chaque sensation mais cette fois en pleine conscience : la chaleur de ton souffle, le frottement du cuir, l’odeur de ma mouillure inondant mes cuisses ,le parfum animal de ta queue tendue comme un étendard , impatiente de conquérir mon corps , de se nourrir de ma jouissance. Mes yeux glissent sur la pièce, captant chaque détail avec une clarté brutale. Une table basse en bois brut trône au milieu du salon, les entailles régulières disséminées pourrait passer pour de l’usure ou le fait d’un animal de compagnie.. mais je sais ce qu’elle racontent : des nuits de passion, un autel où je t’imagine déjà me prenant, tes dents sur ma gorge, mes griffes labourant le bois. Je m’approche, effleurant les marques, et une plume coincée dans un coussin du canapé attire mon regard, vestige d’une nuit oubliée. « T’as toujours aimé les jeux sauvages.. » soufflé-je, mes yeux dorés pétillant, et tu ris, me faisant placer les mains sur la table pendant que tu frottes ta queue le long de ma chatte détrempée et avide de plaisir avant de poser tes mains sur mes hanches, et de faire glisser mon pantalon jusqu’à mes pieds , embrassant et léchant ma peau , mes fesses , mon cul .. « Pourquoi penses-tu donc que je t’ai choisi toi autant que tu ne l’as fait ? tu as ça en toi, tu n’avais pas besoin d’être feylin pour être indécente de luxure , provocatrice et affamée de plaisirs tous plus intenses les uns que les autres… parfois refoulés sans doute .. mais ton corps lui ne ment pas… » feules-tu, et je gémis, mes lèvres dévorant les tiennes, mes griffes frôlant ta nuque, marquant ta peau.
Je m’écarte encore, explorant la pièce, nue et gracieuse , bondissant sans faire le moindre bruit telle une chatte joueuse. Une étagère en acier brut, près de la baie, attire mon attention. Elle porte des objets qui hurlent ton passé : un poignard à manche d’os, gravé de runes Feylin, son éclat terni par le temps ; une fiole de verre contenant un liquide argenté, vibrant doucement, peut-être un élixir lié à ton sang de prince ; une photo encadrée, à moitié cachée, montrant un P plus jeune, entouré d’autres Feylins, leurs yeux dorés luisant dans une forêt sombre. Je frôle la photo, un pincement au cœur, et tu t’approches, ton torse pressé contre mon dos. « Vieux souvenirs, » murmures-tu, ta voix teintée d’une ombre, et je me tourne, mes lèvres frôlant les tiennes. « Et moi, je suis quoi ? » taquiné-je, ma main glissant sur ta queue, serrant à travers le jean. Tu m’enlaces fermement, toute griffes dehors , tu frôles mon cou sous le collier et je peux ressentir à quel point tu retiens tes gestes , quelle précision tu leur donnes… « Mon futur » souffles-tu, et je ronronne, t’embrassant, mes seins pressés contre ton torse, le collier vibrant aussi fort que mon cœur ne bat, comme un serment.
Dans un coin de la pièce, un miroir ancien attire mon attention: son cadre gravé de griffes entrelacées, reflète nos silhouettes. Je m’approche, fascinée, voyant pour la première fois mon reflet Feylin : mes yeux ont un reflet doré luisant comme des braises, la marque lunaire autour de mon cou scintillant sous le collier, mes cheveux roux cascadant sur mes épaules nues et surtout ton regard posé sur moi , je me sens belle , désirable , forte mais surtout , je peux ressentir toute la passion dans ton regard. Je frôle le miroir, sentant une énergie ancienne, « Regarde-toi mieux encore » murmures-tu, te collant à moi, tes mains sur mes hanches, ta queue pressée contre mon cul. « Tu y vois une femme nouvelle ,J’y vois ma future reine : désirable , désirée , puissante… » dis tu d’une voix à la fois posée et rassurrante, et je ris, sauvage, me retournant pour t’embrasser, mes griffes labourant ton dos, arrachant ce qu’il reste de ta chemise en lin. « Et moi , je vois mon roi, mon alpha , le maître de mon plaisir… » soufflé-je, ma langue frôlant ton oreille, et tu rugis, me soulevant, mes jambes s’enroulant autour de ta taille, mon string ne pouvant pas câcher a quel point je suis folle de désir pour toi , mouillant ton jean et le boxer pret a craquer qui s’en echappe déjà…
Nous titubons vers le canapé, et je te pousse, te faisant tomber sur le velours, un rire clair m’échappe. Je grimpe sur toi, à califourchon, mes seins frôlant ton torse, mes griffes traçant des lignes sur tes épaules. « T’as déjà baisé ici, pas vrai ? » taquiné-je, mes lèvres sur ta gorge, goûtant la sueur salée. Tu ris, tes mains glissant sous mon string, frôlant ma chatte trempée. « Ouais, mais pas avec une panthère comme toi » murmures-tu, et je feule, mordillant ton cou, mes hanches ondulant contre ta queue, toujours prisonnière de ton jean. Je m’agenouille et enlève tes chaussures , mordant tes jambes et ta queue à travers le tissu épais puis te retire ce jean qui m’empêche de vraiment profiter de ta virilité si tendue qu’elle frétille sous mes griffes , seulement protégé par un boxer bien étroit …
Soudain, un souvenir me frappe, comme un éclair : la morsure, la nuit où tu m’as transformée, tes dents dans ma gorge, ton sang mêlé au mien, Krysera scellant notre lien. Je frôle le collier, sentant ses pierres pulser, et je te regarde, mes yeux dorés luisant. « Tu savais, pas vrai ? » murmurai-je, ma voix teintée d’émerveillement. « Que Krysera m’avait choisie. » Tu souris, un éclat tendre dans ton regard, et tu m’attires contre toi, tes lèvres sur mon front. « Dès que je t’ai vue, A, et la seule raison qui m’a poussé à aller voir le chaman aura été la peur de te perdre » souffles-tu. « Une âme sauvage, cachée sous une peau humaine. » ajoutes tu ensuite. Je ronronne, mes seins pressés contre ton torse, et je t’embrasse, lentement, nos langues plus serrés encore que nos corps, mes griffes frôlant ta nuque, marquant ma place. L’air dans la pièce semble vibrer tant notre désir est devenu tangible et nos corps s’appellent l’un l’autre.. « Cet endroit est plus que ta tanière, » murmurai-je,« C’est un sanctuaire. » Tu ris, t’approchant avant de poser tes mains sur mon cul et sans que je n’ai le temps de réagir , tes griffes coupent mon string sans même effleurer ma peau… « Alors, sanctifions-le, ma reine » me dis tu , te tenant droit devant moi et me faisant réaliser à quel point ton aura s’impose d’elle même à moi. Je ris, te plaquant contre le mur, mes lèvres dévorant les tiennes, ma jambe remontant lentement contre les tiennes pour coller ma chatte contre ton sexe gonflé, mes griffes labourant ton dos, prêtes à graver notre histoire dans chaque coin de cet espace.
Mes pieds nus dansent silencieusement sur le parquet, chaque pas résonnant comme un appel sauvage à tes instincts primaux. Je te toise, allongé sur le canapé , ton torse luisant de sueur et strié de mes griffes, ton boxer noir tendu à craquer, ta queue palpitante pressée contre le tissu, prête à jaillir. Un sourire provocant étire mes lèvres, et je m’approche de la table basse, mes hanches roulant, mes cuisses luisantes de mouillure, le string en lambeaux sur le sol, mon cul nu captant ton regard brûlant. Je m’appuie contre le bois brut, effleurant les entailles, vestiges d’ébats passés, et je te lance un regard taquin, mes seins lourds frôlant la surface, mes tétons durcis par l’air frais et la chaleur de ton désir. « Prêt à faire vibrer cet autel, mon alpha ? » murmure-je , pyromane de notre désir déjà incandescent. Tu t’avances, tes yeux dorés scintillant comme ceux d’un prédateur affamé : « T’as pas idée à quel point je vais te dévorer » souffles-tu, et en un mouvement fluide, tu me soulèves, tes mains fermes sur mes hanches, me faisant asseoir sur la table, le bois rugueux mordant ma peau, envoyant des frissons électriques dans tout mon corps.
Je m’incline légèrement en arrière, mes mains appuyées sur les entailles, mes jambes s’écartant d’instinct, offrant ma chatte luisante à ton regard, et je feule, un son sauvage, provoquant, mes hanches tressautant sous l’anticipation. Tu t’agenouilles entre mes cuisses, tes lèvres frôlant l’intérieur de ma peau, si douce sous ta bouche, et ta langue trace des lignes de feu, chaque contact me faisant trembler, mes griffes labourant le bois, creusant de nouvelles marques. « Putain, t’es trempée, » murmures-tu, ta voix vibrante, et tes doigts écartent délicatement mes grandes lèvres gonflées, mon clitoris palpitant, mon petit trou frémissant sous ton souffle chaud. G tes lèvres effleurant mes cuisses, et je ris, déjà ivre d’excitation, un éclat clair, mes yeux dorés pétillant. « Goûte-moi, alors, depuis tout à l’heure je n’attends plus que toi… que tu me prennes encore… » gronde-je de ma voix possessive, et immédiatement tu passes à l’action , dévoré toi aussi par le feu qui nous brûle la peau , ta langue glissant, lente, précise, frôlant mon clitoris, puis descendant, explorant l’entrée de mon vagin, taquinant mon anus avec une délicatesse qui me fait gémir, un son aigu, animal, Feylin…
Ta langue s’attarde, traçant des cercles autour de mon clitoris, le suçant doucement, puis fort, alternant pour me rendre folle, et je laisse s’échaper des râles ne laissant aucun doute sur le plaisir que je prends à être ainsi littéralement dévorée vivante, mes cuisses tremblant, mes mains s’enfonçant dans tes cheveux, crispant tes mèches sombres à mesure que le plaisir monte, une vague brûlante qui me consume. « Bordel, P, ta bouche… » souffle-je, mes hanches ondulant, pressant ma chatte contre ta langue, tes lèvres vibrantes contre ma peau, ta langue plongeant à l’intérieur de mon vagin, frottant les parois sensibles, chaque caresse me faisant redécouvrir mon corps, comme si chaque nerf s’éveillait pour la première fois. « J’aime ton goût, ton nectar, c’est comme du miel sauvage et il me rend fou.. » murmures-tu, et je gémis, mes griffes se plantant dans le pied de la table, tandis que mes cuisses se crispent autour de ta tête, cherchant plus de pression, plus de toi avant de s’écarter toujours plus pour te laisser m’amener toujours plus loin dans le plaisir. Ta langue revient à mon clitoris, le suçant avec une précision qui me fait cambrer, et je sens mon corps trembler, chaque muscle vibrant, mes seins luisants de sueur, mes tétons durcis frôlant l’air, chaque sensation amplifiée par cette sauvagerie Feylin qui hurle en moi.
Tu glisses deux doigts dans mon vagin, massant mon point G avec une expertise qui me fait perdre le contrôle, mes parois se contractant autour de toi, et je gémis un son rauque et viscéral, rythmé par mon souffle haché. Mes hanches tressautant, mes griffes labourant le bois, la table craquant sous mon poids. Je te supplie « encore .. encore … plus… », et tu rugis doucement, ajoutant un troisième doigt, puis un quatrième, me remplissant la chatte à la fois fermement et pourtant tout en douceur et en contrôle, frottant à l’intérieur avec une intensité qui me fait voir des étoiles, mes cuisses tremblantes, ma chatte en feu, dégoulinante, indécente de jouissance, prête à exploser. « T’es si serrée, si chaude, » feules-tu, ta langue s’activant sur mon clitoris gonflé, le suçant fort, et je crie, un son sauvage, ondulant du bassin pour mieux te sentir, cherchant à te prendre encore plus en moi, à sentir plus ta langue , la chaleur de ta bouche contre moi. Je ne suis que sensations, plaisir, mon corps entier vibre sous tes caresses fermes. Ta main bouge vivement, tes doigts plongeant et frottant, et je sens le plaisir monter, une vague incandescente, incontrôlable, mes muscles se tendent, mes cuisses sont prises de spasmes , ma chatte se contractant autour de tes doigts comme si elle voulait les garder pour toujours en elle et je sais que tu sens tout toi aussi car tu en profites pour redoubler d’efforts , transformant mes gémissements en cris gutturaux de plaisir.
Un cri « P, putain, je vais… » et l’orgasme me frappe, violent, dévastateur, mon corps s’arquant sur la table, mes griffes labourant le bois, mes cuisses tremblant, ma mouillure inondant tes doigts, ta bouche, ma cyprine brulante, trempant tes levres, la table, le sol. Ta langue ralentit, goûtant ma jouissance, et je m’effondre sur le bois, haletante, mes seins luisants, mes yeux dorés scintillant, un éclat violet argenté jaillissant brièvement du collier, comme un écho de mon extase.
« T’es fier de toi, hein ? » te dis-je , ma voix rauque, et tu te redresses un sourire en coin, avant de m’embrasser, me faisant goûter ma cyprine sur tes lèvres, un mélange salé, sauvage, qui me fait ronronner. « fier ? non.. pas encore.. » me réponds tu, tes griffes frôlant mon cul, et je ris, mes lèvres mordillant les tiennes, mes hanches roulant contre toi, prête à t’entraîner ailleurs, le canapé nous appelant pour la suite.
Mais je m’attarde un instant, encore tremblante, mes cuisses frémissant sous les vagues résiduelles du plaisir, et je te regarde, tes yeux dorés luisant de satisfaction, ta queue toujours prisonnière du boxer, palpitante, impatiente. « T’as aimé me voir perdre le contrôle avoue… » dans un ronronnement provocant, et je glisse une main sur ton torse, mes griffes traçant des lignes légères, frôlant tes tétons, te faisant fermer les yeux pour mieux sentir la caresse. « J’aime chaque putain de seconde où tu te donnes à moi, A .. » rugis-tu tandis qu’un large sourire prend place sur mon visage. Me redressant sur la table, mes jambes s’enroulant autour de ta taille, mes lèvres frôlant ton oreille. « Alors prépare-toi, parce que je vais te rendre fou ». Je t’embrasse, ma langue dansant avec la tienne, mes griffes laissant leur place à mes doigts pour soulager le feu de ton dos avant de venir mordre tes tétons, la promesse d’une suite bestiale flottant entre nous, le canapé, le mur, chaque coin de cet appartement prêt à vibrer sous nos corps.
Mes doigts glissent sur le collier, effleurant les pierres tièdes, puis descendent, frôlant mes seins, pinçant mes tétons durcis, un frisson me traversant, ma peau vibrant d’une excitation brute. Ma main s’aventure plus bas, caressant ma chatte encore sensible, recueillant ma mouillure, et je porte mes doigts à mes lèvres, les léchant sensuellement, ma langue dansant, simulant la fellation à venir, un sourire gourmand aux lèvres. « tu es belle quand tu jouis et que tu assumes ton côté animal…» dis tu d’une voix grave, posée mais ne laissant aucun doute sur l’emprise que tu comptes exercer sur moi… Et je ronronne, mes yeux pétillant, ma chatte se contractant à l’idée de me plier à tes ordres, de t’offrir mon corps comme une offrande sauvage.
Tu te lèves, ton boxer noir tendu à craquer, ta queue pressée contre le tissu, et tu t’assois sur le canapé en velours noir, tes cuisses écartées, ton regard brûlant me clouant sur place. « Approches toi » grondes-tu, un ordre qui fait vibrer chaque nerf de mon corps, et je m’approche tes yeux ne perdant pas une miette du spectacle , allant de mes hanches à mes seins, mes tétons durcis captant ton attention. « Assieds-toi sur la table et caresse-toi pour moi. » ordonne-tu de ta voix rauque, et je m’exécute, m’asseyant sur le bois rugueux, mes jambes écartées, offrant ma chatte luisante à ton regard. Ma main glisse lentement sur mon clitoris, frottant en cercles, mes doigts trempés de mouillure, et je gémis, mes yeux rivés aux tiens, fière d’être celle qui a ton attention, ta queue gonflant le tissu, une preuve de ton désir qui fait chanter mon sang. Je me cambre, mes seins offerts, mes tétons presque douloureux sous l’excitation, ma chatte brûlante s’ouvrant toujours plus sous mes caresses, chaque mouvement amplifié par ton regard, une électricité courant dans mes veines. « J’adore… » murmures-tu, et mes lèvres s’étirent, un ronronnement sauvage m’échappant, mon corps vibrant d’une joie féroce à l’idée de t’enflammer.
« Maintenant, viens sucer ma queue. »
Tes yeux sombres, et tu ajoutes, un éclat dominateur dans la voix : « Suce-moi comme la dernière des salopes » Mon corps s’embrase, ma chatte se contractant violemment, et je glisse de la table, rampant à quatre pattes, mes griffes frôlant le parquet, jusqu’à toi, mes yeux dorés scintillant d’une soumission provocante. Mes doigts agiles font glisser ton boxer , libérant ta queue, dure, tendue au maximum, son gland luisant de désir, et je feule, une fierté brute m’envahit face à cette verge d’alpha, gonflée à l’extrême par l’excitation que je lui inspire. Je pense à ta puissance, à cette queue qui me domine et que je possède à la fois, un mélange de soumission et de contrôle qui fait pulser mon cœur. « Même la dernière des salopes ne te sucera pas aussi bien… » un feulement taquin dans la voix, prête à relever ton défi, et je frôle ton gland avec ma langue, un coup précis, traçant des cercles lents, taquinant la fente, goûtant ton sel, te faisant rugir, tes mains crispant les coussins, le velours se déchirant sous tes griffes. Ma bouche s’ouvre, salivant abondamment sur ta queue, lubrifiant chaque centimètres de peau sur ta verge avant de prendre ton gland, le suçant fort, le sentant frotter contre mon palais, chaud, pulsant, remplissant ma bouche d’une chaleur qui me fait gémir. Je savoure cette plénitude, cette verge qui étire mes lèvres, qui pulse contre ma langue, un symbole de ton désir que je contrôle, et mon euphorie monte, mes sens Feylin captant chaque détail : la texture soyeuse, les pulsations rapides, la fierté de te voir au bord du gouffre. Ma langue danse, s’enroulant autour de la veine gonflée, taquinant la base du gland, puis la fente, alternant douceur et pression pour amplifier ton plaisir, et tu roumes, un son grave, tes cuisses tremblant. « Bordel A, t’es trop bonne… » souffles-tu, et je gémis, vibrante, ma chatte pulsant, trempée, dégoulinant sur le parquet, indécente de jouissance.
Tes mains glissent sur mes seins, pinçant mes tétons, et une décharge électrique me traverse, ma chatte se contractant en rythme avec ta queue dans ma bouche, chaque pincement envoyant des éclairs dans mes veines, mon corps vibrant comme une corde tendue. Je suce sans retenue, sans bienséance, ma salive coulant sur ton gland, mes lèvres glissant jusqu’à la base, ma langue jouant, frottant les zones sensibles, te faisant cambrer, un rugissement étouffé s’échappant de ta gorge. « T’aimes me rendre fou … » murmures-tu, et mes yeux pétillent, ma main serrant tes bourses, les caressant, les suçant juste à la limite de la douleur, puis relâchant, ma langue léchant abondamment, alternant pour te pousser au bord. Je peux sentir chaque pulsation de sang dans ta verge à chaque fois que ton cœur pompe pour la faire grossir toujours plus , et je savoure cette domination partagée, mon corps tremblant d’une excitation presque électrique, ma chatte palpitant en écho à chaque mouvement de ma bouche.
Soudain, tu te redresses, tes yeux brûlants. « Fais-moi confiance » grondes-tu, et tes mains se posent sur ma tête, fermes, guidant ma bouche. Tu commences à baiser ma bouche, lentement mais profondément, ta queue glissant jusqu’à ma gorge, et je ferme les yeux, mon imagination s’enflammant : je me vois soumise, offerte, ta salope, et pourtant puissante, contrôlant ton plaisir par mon abandon. Ma main glisse instinctivement sur ma chatte, frottant mon clitoris frénétiquement, mes doigts trempés, et je gémis, vibrante, ma bouche pleine de ta queue, ton gland frottant mon palais, tes mains crispant mes cheveux. Je pense à cette soumission, à la façon dont tu me possèdes, ma langue dansant même sous tes coups, taquinant ta verge, amplifiant ton plaisir. « Putain, t’es parfaite. » feules-tu, et je gémis, ma chatte pulsant, mon corps tremblant, électrisé par cette soumission choisie, mes doigts accélérant, ma mouillure inondant mes cuisses, le parquet, tout.
Le collier vibre soudain, un éclat violet argenté, comme un écho de notre tension, et je sens ta queue palpiter, au bord de l’explosion. « Pas encore » dis tu soudain retirant ta queue de ma bouche et pressant de tes doigts pour retenir ton foutre, mes lèvres luisantes de salive, un dernier coup de langue sur ton gland, et je me redresse, mes seins frôlant ton torse, mes lèvres écrasant les tiennes, te faisant goûter ton propre goût, un mélange salé, animal, qui nous fait feuler. « T’as aimé ? » murmuré-je, mes griffes traçant des lignes sur ton torse, frôlant tes tétons tandis que tes mains serrent mon cul, tes griffes taquinant ma peau. « J’aime chaque seconde où tu te donnes à moi. » murmures-tu, et je ronronne, mes hanches roulant contre ta queue, toujours dure, palpitante, prête pour la suite. « Alors prépare-toi, parce qu’on n’a pas fini. » soufflé-je, mes lèvres frôlant ton oreille, et je t’embrasse, ma langue dansant avec la tienne, mes griffes labourant ton dos, la promesse d’une pénétration bestiale flottant entre nous, le canapé, la table, chaque coin de cet appartement prêt à vibrer sous nos corps.
Ma bouche encore frémissante de ton goût salé, mes lèvres palpitantes de notre dernier baiser, je te fixe, mes yeux dorés luisant d’une faim dévorante, ma chatte trempée pulsant en écho à la tension qui nous lie, ton torse zébré de mes griffures vibrant sous mes doigts. L’effluve brut de ton désir – sueur, chaleur, comme une bête traquée – sature mes sens, mêlé à l’odeur capiteuse de ma mouillure, un cocktail qui fait rugir le feu dans mes veines. Tu te redresses sur le canapé en velours noir, tes cuisses écartées, ta queue dure, frémissante, luisante de ma salive, et tes yeux dorés me clouent, un roumement grave grondant dans ta gorge. « C’est moi ou tu y prends gout ? a ces sensations nouvelles , à être feylin ? » murmures-tu, ta voix rauque, et tu te penches, tes lèvres s’écrasant sur les miennes, un baiser vorace, ta langue s’enroulant autour de la mienne, tes griffes frôlant ma nuque sous le collier, me faisant feuler, mes hanches tressautant d’instinct, ma chatte brûlante s’ouvrant à l’idée de t’engloutir.
Tu saisis ma main, tes doigts fermes, et me guides vers le canapé, ton regard incendiaire ne quittant pas le mien, une invitation muette à m’abandonner à toi. Je m’étends sur le velours, mes jambes écartées, ma chatte luisante offerte à tes yeux, mes seins lourds frôlant l’air, mes tétons durcis, presque douloureux sous l’excitation. Tu te lèves, ta verge tendue comme un arc, palpitante, et je feule, une exaltation féroce me traversant face à ce symbole de ton désir, une arme forgée pour moi, que je brûle d’affronter. Tu t’approches, tes mains glissant sur mes cuisses, écartant mes jambes plus loin, tes griffes taquinant ma peau, et je gémis, mes hanches ondulant, ma chatte s’entrouvrant sous ton regard.
Tu te places entre mes jambes, ta queue frôlant ma chatte, le gland tapotant mon clitoris, et je gémis, une décharge électrique me secouant, mes sens captant la chaleur soyeuse de ta verge, ses pulsations rapides contre ma peau. Tu joues, ta queue glissant à l’entrée de ma chatte, puis frôlant mon cul, me faisant cambrer, un feulement rauque m’échappant, mes hanches se soulevant pour t’attirer, mais tu maîtrises, ralentissant, ton regard brûlant rivé au mien. « Patience, ma panthère. » souffles-tu, et tu tapotes à nouveau mon clitoris, chaque contact envoyant des éclairs dans mes nerfs, ma chatte palpitant, trempée, prête à t’avaler. Puis, d’un coup, tu plonges, ta queue s’enfonçant profonde, écartant mes parois, et je crie, une vague brûlante me traversant, chaque centimètre de ta verge déclenchant une pulsation qui ébranle mes entrailles, mes griffes crispant le velours, mes cuisses tremblant sous l’assaut.
Tes couilles frôlent mon entrejambe, une caresse rythmique qui fait vibrer ma chatte, et je savoure l’idée de te rendre fou, de sentir ton désir me dévorer comme une flamme. Mes parois enserrent ta verge, chaque centimètre frottant des zones sensibles, et je gémis, la sensation d’une plénitude qui me consume, mêlée à la chaleur de tes couilles contre ma peau, un battement qui attise mon plaisir. Mes mains glissent sur mes seins, caressant, frôlant mes tétons, et je feule, la piqûre délicieuse envoyant des ondes qui se mêlent aux vagues de ma chatte à chaque coup de reins. Tes mains empoignent mes hanches, tes griffes s’enfonçant juste assez, et je gémis, ma chatte pulsant en rythme avec tes coups, chaque pénétration amplifiant une tempête dans mon corps.
Tu ralentis, ta queue sortant presque, frôlant à nouveau mon clitoris, puis l’entrée de mon cul, me faisant cambrer, un grognement sauvage m’échappant. « Tu joues avec le feu… » taquiné-je, ma voix tremblante, et tu roummes, un son grave, tes mains soulevant mon bassin pour t’enfoncer à nouveau, profond, tes couilles pressant mon entrejambe, arrachant un cri de ma gorge. Mes mains quittent mes seins, glissant vers ta bouche, et tu saisis mes doigts, les suçant, mordillant légèrement, une décharge me traversant, ma chatte se contractant violemment, en écho à ta queue qui m’écarte.
Tu accélères, tes coups puissants, profonds, ta queue frottant des zones qui me font cambrer, mes seins bondissant, mes tétons frôlés par tes mains, puis saisis, une douleur exquise qui fait pulser ma chatte plus fort. Je gémis, mes griffes frôlant tes flancs, traçant des lignes rouges, ma chatte palpitant, débordante de jouissance. Les vagues de plaisir déferlent dans ma chatte, chaque coup de reins amplifiant la tension, et je sens l’orgasme monter, dévastateur, mes sens captant tout : le velours râpant mon dos, le flux de mon sang, la tension de mes seins, tes dents taquinant mes doigts, ta queue pulsant en moi. « Jouis pour moi, ma salope. » murmures-tu, ta voix un ordre incandescent, et je feule, mes jambes s’enroulant autour de ta taille, t’attirant plus profond, ma chatte avalant ta queue, serrant, vibrant.
Le collier vibre, un éclat violet argenté, comme un murmure de Krysera, et l’orgasme me déchire : mon corps se tend, mon cœur s’emballe, mes griffes crispant tes épaules, et un cri sauvage déchire ma gorge, ma chatte convulsant, la cyprine inondant ta queue, le velours, tout. Tu rugis, tes coups ralentissant, ta queue palpitant, et tu joues encore, sortant à moitié, tapotant mon clitoris, avant de t’enfoncer à nouveau, prolongeant mon extase, mon corps tremblant, électrisé. Enchainant les orgasmes, mes mains se crispent sur tout ce qu’elles peuvent saisir , je crie , je hurle mon plaisir à toute la ville , à Krysera qui nous observe sans doute… et lorsque tu jouis à ton tour , que ton foutre inonde ma chatte , je ne suis plus qu’une masse de plaisir , tout mon corps parcouru de spasmes ,et le sang dans mes veines pulse de manière assourdissante… Je m’effondre, haletante, ta queue toujours dure en moi, ton souffle rauque contre ma nuque. Mes doigts glissent dans tes cheveux, caressant doucement , contrastant avec la bestialité de nos étreintes juste quelques secondes avant…
Dans un sourire, tu me dis « bon.. Table basse et canapé c’est fait.. On passe à la suite ? » et jusqu’au petit matin nous avons marqué de notre plaisir les moindres recoins de notre tanière…